Hallucigenia a écrit :Rien que sa manière d'accepter la découverte récente de l'utilisation de l'arsenic comme composé structural de base par certaines bactéries tout en dénigrant la biologie moléculaire montre qu'il ne comprend rien à la biologie moléculaire ou à la biochimie. A-t-il seulement réfléchi à comment les chercheurs ont démontré l'utilisation de l'arsenic par ces bactéries? J'en doute car ils l'ont fait en utilisant des outils développés et des connaissances obtenues dans le domaine de la biologie moléculaire.
Une minute, le département de Géomicrobiologie du Astrobiology Research de la NASA est avec le Vernadsky Institute of Geochemistry and Analytical Chemistery (qui a indirectement participé aux traveaux) parmis les plus hautes institutions scientifique ou la recherche sur la biophysique fondamentale n'est pas motivé pas l'argent mais bien la science. Je ne dénigre pas toutes les bases empiristes de la biologie-moléculaire. Je constate simplement que oui certains mécanismes de publications, dans les départements de recherche universitaires, sont contrain par la force d'impératif corporatiste a ne pouvoir publier certaine découvertes.
Darwin est incontestablement l’un des plus grand génie de son époque et la Biologie moléculaire une spécialisation scientifique de premiere ordre. Soyons claire, je ne suis pas ici pour faire de l’obscurentisme.
Revenont en arriere alors que James Watson, codécouvreur avec Francis Crick, de la structure en double hélice de l’ADN, nous promettait de résoudre l’une des plus passionnante énigme des origines de la vie. Aujourd’hui il s’avère que ces recherches ont été avant tout une source d’enrichissement personnel pour ces deux personnages vivant de la spéculation sur les places financières, comme une grande partie de l’industrie génétique. L’engouement pour le génie génétique a énormément été motivé par des intérêts financiers et cela bien plus que par la science.
Mais finalement le séquençage du génome du virus du sida n’explique pas le sida, pas plus que le gène de la mucoviscidose n’explique la mucoviscidose. Faut-il conclure que si la double hélice de l’ADN n’est plus porteuse du « livre de la vie », nous pouvons espérer que la science va reprendre ses droits ?
Ce que je veut dire par « dogme Darwinien » c’est que l’approche typiquement especiste de la biosphère devient de plus en plus ridicule. La fait est que la biosphère, avant d’etre un adition d’espece, est avant tout le prolongement des loi biogéochimique de la matiere qui obéit des lois physique. L’approche du vivant par les lois de la migration biogénique des atomes, c’est a dire par des lois démontrable de l’ordonance de la matière, semble prometeuse et honnête intellectuellement; ce n'est pas de la pseudo-science.
Premierement l’individue est avant-tout un concepte philosophie propre a l’homme qui n’a pas véritablement de sens dans les mécanismes observables propre a la biosphère. Si les caractères de l'individu sont déterminés par les gènes, pourquoi toutes les cellules d'un organisme ne sont-elles pas identiques, ce demandais avec raison Thomas Morgan.
L’épigénitique, justement, lutte, d’une certaine manière, un peu contre le dogme central de la biologie moléculaire en ce qui a trait aux modalités du transfert d’information. Cette derniere postule qu’une telle information ne peut être transférée d’une protéine vers une protéine où un acide nucléique. L’épigénitique commence pourtant a le démontrer formellement.
A ce sujet je vous propose de lire sur l’expression stochastique des gènes un livre de l’épigénititien Andras Paldi "Génétiquement indéterminé: Dynamiques d'auto-organisation du vivant."
Vernadski quand a lui a exprime ses idées sur l’évolution dans L’évolution des espèces
et la matière vivante dans un concepte de migration biogénique des atomes, publié en
appendice de La biosphère (il s’agit ici d'extrais de texte d’une conférence donnée en 1928 à la Société des naturalistes de Leningrad).
Au niveau biogéospherique et termodynamique , la vie représente pour la planète le passage
à un niveau énergétique supérieur: « La matière vivante augmente l’énergie active de l’écorce terrestre de deux manières différentes. Elle l’augmente par ses processus réversibles, par le dégagement de l’oxygène libre, par son échange avec les autres éléments chimiques du milieu. Son expansion sur toute la surface du globe joue un grand rôle dans l’intensification de l’activité chimique de notre planète. La matière vivante devient ainsi un régulateur de
son énergie, elle la distribue sur toute la surface terrestre d’une façon plus ou moins homogène. En meme temps, par ces processus irréversibles, la matière vivante accumule l’énergie rayonnante du Soleil et la transmet à des couches plus profondes de l’écorce
sous forme de composés chimiques, qui peuvent, dans des conditions déterminées, donner lieu à un dégagement de l’énergie active, en premier lieu sous forme de combustibles et de
carbonates. »
La biosphère peut etre conçue comme un mécanisme où s’opère une incessante transformation des rayonnements cosmiques en énergie terrestre active, généralement sous
forme d’énergie chimique libre.
L’évolution des formes de vie et celle de ses fonctions géochimiques
obéissent à une loi formel, qui est celle de l’accroissement de la vitesse de cette migration.
Remplacer le Dieu de la religion par le Dieu hazard/statistique n’est pas satisfaisant. Il y a bien une direction dans l’évolution, qui n’est pas seulement gouvernée par des rencontres fortuites de molécules, par des mutations. Le principal effet de cette évolution, considérée d’un
point de vue global biosphérique, est d’accroître l’activité chimique et l’énergie libre :
« L’évolution des formes vivantes au cours des temps géologiques sur notre planète a toujours augmenté la migration biogène des éléments chimiques dans la biosphère. »
Le processus de l’évolution a non seulement élargi le domaine de la vie, lui permettant de conquérir de nouveaux espaces, mais il a intensifié et accéléré la migration biogène :
« La formation du squelette des vertébrés a modifié et augmenté, en la
concentrant, la migration des atomes du fluor et, sans doute, du phosphore
et celle de celui des invertébrés aquatiques – la migration des atomes du
calcium.
L’apparition de ces espèces de vertébrés ailés a non seulement créé de nouvelles formes
biogènes et a eu une répercussion sur la balance chimique de la mer et
du continent, mais elle a provoqué encore une recrudescence de la migration
biogène au cours de l’histoire de corps séparés, en particulier dans celle du phosphore.
La pensée de l’Homo sapiens faber est un nouveau fait qui bouleverse la structure de la biosphère après des myriades de siècles. Le rôle antropophere(l’humanité) est du point de la vue de la migration biogène infiniment plus important que celui des autres vertébrés.
Prenons un exemple : la synthèse de l’ammoniac, due à une découverte scientifique d’un seul homme (Basilius Valentinus), a permis la hausse des rendements agricoles au xxe siècle
et a, de cette manière, transformé la société humaine en changeant sa
répartition sur la planète (l’urbanisation étant autrement impossible). Avant cette découverte, la quantité d’azote dans le sol était un facteur limitant critique pour la hausse des
rendements. La possibilité d’apporter à volonté de l’azote supplémentaire permettait de s’affranchir de cette limite. Donc l’individue humain peut ainsi changer la face de la planète. Seule l’espèce humaine est dotée de cette capacité cognitive à changer de façon volontaire les données biologiques de sa capacité de peuplement ; ce qui la distingue de façon absolue de toute autre espèce vivante dans le procesus de transformation biogéophysique.
Contrairement a la philosohie de l’écologie post-moderne, pour Vernadsky il n’y a pas du tout de coupure absolue entre l'activité de l’humanité et les processus vivants dans leur ensemble.