virus, vaccin, terrain et doute
Publié : 03 août 2011, 11:23
"La vérité ne gagne jamais. Ce sont ses ennemis qui finissent par mourir." (Planck)
Voici un extrait d'une réflexion posée lors d'un article sur le net que je vous soumets pour critique.
Est-ce le terrain ou le virus qui fonde la maladie ?
''En résumé, dans la théorie de Pasteur, le microbe est à l’origine de la maladie, pour les partisans de Béchamp, c’est la maladie qui permet au microbe de s’exprimer. Cette dualité de position dure officiellement depuis plus de 100 ans mais on prétend que, sur son lit de mort, Pasteur aurait affirmé que c’était Claude Bernard qui avait raison, que le microbe n’était rien, que le terrain était tout. […] Plus près de nous, le Pr Jean Bernard posait la question : « Ces virus sont-ils bien en dehors de nous ? Ne viendraient-ils pas de nos organismes traumatisés ? » […] Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». […] Selon une étude anglo-saxonne du Churchill Hospital d’Oxford, l’augmentation importante de l’asthme (qui a doublé en France depuis vingt ans avec 3 500 décès annuels) est davantage liée aux vaccins (BCG, coqueluche et rougeole) qu’à la pollution. […]
Si l’on en croit la Dr Robert Mendelsohn, pédiatre américain de réputation mondiale, il serait prudent de ne pas vacciner les jeunes enfants : « Une grande partie de ce que l’on dit sur les vaccinations n’est tout simplement pas vraie. Si je voulais obéir à mes convictions profondes, je vous recommanderais de rejeter toute vaccination pour votre enfant. » […] A l’instar des antibiotiques, les vaccins ne font que diminuer la vitalité du terrain, ce qui diminue la résistance naturelle. Cette altération du terrain risque de provoquer une cancérisation. […] Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.
Tous les vaccins sont-ils vraiment indispensables ? A contrario, tous sont-ils inutiles et néfastes ? Il est temps que la médecine indépendante des lobbies se penche sérieusement sur ces questions. Mais c’est peu probable car s’il ressortait que les allégations des thérapeutes sont avérées et que les vaccins créent bien un état de carence immunitaire, alors l’Etat, qui oblige à la vaccination, se trouverait dans une posture bien délicate, avec risque de procès à la clé. Ce serait aussi la fin du dogme de la médecine classique. Officiellement, il n’y a donc aucun lien entre les vaccins et le développement des cancers et autres maladies chroniques et la question ne mérite même pas d’être posée…''
Certains biologistes entrevoient le virus plutôt comme la lise de cellules mortes... Autrement-dit le virus n'est pas l'agresseur, mais le témoin du terrain que l'on essaie de faire taire !
Il est clair que si le virus provient de l'intérieur de l'organisme, le patient pourrait avoir un rôle et vrai pouvoir sur sa santé, plutôt que de se remettre exclusivement à une action extérieure... Ce qui serait un changement de paradigme et qui sait, de société ?
"Le rôle du médecin est de distraire le malade pendant que la nature le guérit." (citation)
Le doute doit porter sur quelle partie de la science aujourd'hui ?
Cordialement
Voici un extrait d'une réflexion posée lors d'un article sur le net que je vous soumets pour critique.
Est-ce le terrain ou le virus qui fonde la maladie ?
''En résumé, dans la théorie de Pasteur, le microbe est à l’origine de la maladie, pour les partisans de Béchamp, c’est la maladie qui permet au microbe de s’exprimer. Cette dualité de position dure officiellement depuis plus de 100 ans mais on prétend que, sur son lit de mort, Pasteur aurait affirmé que c’était Claude Bernard qui avait raison, que le microbe n’était rien, que le terrain était tout. […] Plus près de nous, le Pr Jean Bernard posait la question : « Ces virus sont-ils bien en dehors de nous ? Ne viendraient-ils pas de nos organismes traumatisés ? » […] Comme le disait déjà Hippocrate : « Le corps fait une maladie pour se guérir ». […] Selon une étude anglo-saxonne du Churchill Hospital d’Oxford, l’augmentation importante de l’asthme (qui a doublé en France depuis vingt ans avec 3 500 décès annuels) est davantage liée aux vaccins (BCG, coqueluche et rougeole) qu’à la pollution. […]
Si l’on en croit la Dr Robert Mendelsohn, pédiatre américain de réputation mondiale, il serait prudent de ne pas vacciner les jeunes enfants : « Une grande partie de ce que l’on dit sur les vaccinations n’est tout simplement pas vraie. Si je voulais obéir à mes convictions profondes, je vous recommanderais de rejeter toute vaccination pour votre enfant. » […] A l’instar des antibiotiques, les vaccins ne font que diminuer la vitalité du terrain, ce qui diminue la résistance naturelle. Cette altération du terrain risque de provoquer une cancérisation. […] Les vaccins empêchent parfois l’éclosion des maladies pour lesquelles ils sont prévus, mais ils facilitent l’émergence d’autres maladies, car le terrain est affaibli et se laisse assaillir par des germes qui prolifèrent et deviennent virulents.
Tous les vaccins sont-ils vraiment indispensables ? A contrario, tous sont-ils inutiles et néfastes ? Il est temps que la médecine indépendante des lobbies se penche sérieusement sur ces questions. Mais c’est peu probable car s’il ressortait que les allégations des thérapeutes sont avérées et que les vaccins créent bien un état de carence immunitaire, alors l’Etat, qui oblige à la vaccination, se trouverait dans une posture bien délicate, avec risque de procès à la clé. Ce serait aussi la fin du dogme de la médecine classique. Officiellement, il n’y a donc aucun lien entre les vaccins et le développement des cancers et autres maladies chroniques et la question ne mérite même pas d’être posée…''
Certains biologistes entrevoient le virus plutôt comme la lise de cellules mortes... Autrement-dit le virus n'est pas l'agresseur, mais le témoin du terrain que l'on essaie de faire taire !
Il est clair que si le virus provient de l'intérieur de l'organisme, le patient pourrait avoir un rôle et vrai pouvoir sur sa santé, plutôt que de se remettre exclusivement à une action extérieure... Ce qui serait un changement de paradigme et qui sait, de société ?
"Le rôle du médecin est de distraire le malade pendant que la nature le guérit." (citation)
Le doute doit porter sur quelle partie de la science aujourd'hui ?
Cordialement