Référentiels coulombien
Publié : 13 sept. 2011, 00:04
				
				Bonjour,
Je viens vers vous défendre une théorie que je propose ce qui explique la longueur du message que vous voudrez l'analyser (je l'espère).
Mon travail est résumé dans le fichier : Une critique de la relativité générale
On a déduit la relativité générale de la théorie restreinte à partir d'un postulat de base physiquement infondé : il existe une quantité infinitésimale qui est conservée lors des changement de coordonnées. On doit déduire de cette idée naturelle l'extension de la pertinente relativité restreinte (centrée sur la transformation de Lorentz). Les outils mathématiques qu'on découvrira mettrons en évidence les lois de la physique, quelque soit leur degré de cohérence c'est à dire leur capacité à exprimer les grandeurs inhérentes à toute expérimentation que sont les distances spatiales entre entités immobiles et les durées de temps propres. Ces outils définirons ce qui est physiquement possible (quelle signification on peut donner à la notion de système de coordonnées).
Les mathématiques de cette théorie
En physique classique l'expression habituelle de la distance euclidienne est une quantité qui existe entre deux entités immobiles et qui est exprimée dans un certain système de coordonnées cartésien S qui est relatif à une base de l'espace physique affine reconnue comme orthonormée. Les application linéaires, définies sur l'ensemble des 4-réels, qui laissent invariante cette métrique sont telles que lorsqu'on les appliquent à S on obtient tous les autres systèmes de coordonnées de même nature qui sont immobiles par rapport à S. En relativité restreinte l'expression habituelle de la distance de Minkowski est une quantité qui existe entre deux événements et qui est exprimée dans un certain système de coordonnées cartésien S tel que précédemment décrit. Les application linéaires, définies sur l'ensemble des 4-réels, qui laissent invariante cette métrique sont telles que lorsqu'on les appliquent à S on obtient tous les autres systèmes de coordonnées de même nature qui sont éventuellement en translation uniforme par rapport à S.
En relativité générale l'univers quadridimensionnelle est supposé être un espace métrique et cette métrique est définie à l'aide de quantité infinitésimales qui existent entre des évènement topologiquement très proches et qui sont exprimées dans un système de coordonnées étendu et pertinent S (il peut s'agir des coordonnées de Schwarzschild). Pertinent car on ne sait plus dire cartésien mais bien que pertinent ce ne sont pas des coordonnées d'espace et de temps comme on peut en imaginer avec un concept d'immobilité et quantités d'horloges numériques régulières disposées dans cet état.
En mathématiques, un infinitésimal n'a de sens que proportionnellement à un autre (nombre dérivé) ou plus fondamentalement sous une intégrale. En physique classique ce qu'on mesure sur une surface décrite par les coordonnées de Gauss ce ne sont pas des infinitésimaux mais les longueurs des segments de courbes paramétrées. En mathématiques, relativement à une paramétrisation pertinente d'un espace métrique, un infinitésimal est une quantité qui dépend à la fois d'un point de cet espace métrique et d'une de ses courbes paramétrée : par intégration elle détermine les longueurs des segments de cette courbe.
Dans les mathématiques particulières de la relativité générale, les infinitésimaux de métrique dépendent uniquement des points de l'espace métrique ou il sont évalués et leur intégration n'a de sens que le long de certaines courbes paramétrées où ils décrivent la notion de temps propre.
Les grandeurs observables
Dans cette théorie, on sait décrire les géodésiques (trajectoires des corps libres) relativement à des systèmes de coordonnées étendus et pertinents S. On sait attribuer à chacun des évènements éléments de la géodésique d'un point matériel M dans S, un vecteur vitesse élément de l'espace vectoriel tangent à la variété pseudo-riemannienne qu'est le continuum espace-temps, et un temps propre. La notion de référentiel est donc bien définie et on peut citer des extrait de de Wikipédia pour clarifier ce propos :
Patrick Cornille (Akhlesh Lakhtakia, editor) (1993). Essays on the Formal Aspects of Electromagnetic Theory. World Scientific. p. 149. ISBN 9810208545.
<<As noted by Brillouin, a distinction between mathematical sets of coordinates and physical frames of reference must be made. The ignorance of such distinction is the source of much confusion… the dependent functions such as velocity for example, are measured with respect to a physical reference frame, but one is free to choose any mathematical coordinate system in which the equations are specified.>>
Graham Nerlich (1994). What Spacetime Explains: Metaphysical essays on space and time. Cambridge University Press. p. 64. ISBN 0521452619.
<<The idea of a reference frame is really quite different from that of a coordinate system. Frames differ just when they define different spaces (sets of rest points) or times (sets of simultaneous events). So the ideas of a space, a time, of rest and simultaneity, go inextricably together with that of frame. However, a mere shift of origin, or a purely spatial rotation of space coordinates results in a new coordinate system. So frames correspond at best to classes of coordinate systems.>>
Ce qui est étrange, c'est que près d'un siècle après sa publication cette théorie ne nous dit pas quand est ce que la géodésique d'un point matériel N dans S parait immobile pour le physicien M, elle ne nous dit pas ce que signifie pour le physicien M l'affirmation qu'un ou plusieurs points matériels lui paraissent immobiles (notion de distance spatiale).
John D. Norton (1993). General covariance and the foundations of general relativity: eight decades of dispute, Rep. Prog. Phys., 56, pp. 835-7.
<<In traditional developments of special and general relativity it has been customary not to distinguish between two quite distinct ideas. The first is the notion of a coordinate system, understood simply as the smooth, invertible assignment of four numbers to events in spacetime neighborhoods. The second, the frame of reference, refers to an idealized system used to assign such numbers … To avoid unnecessary restrictions, we can divorce this arrangement from metrical notions. … Of special importance for our purposes is that each frame of reference has a definite state of motion at each event of spacetime.…Within the context of special relativity and as long as we restrict ourselves to frames of reference in inertial motion, then little of importance depends on the difference between an inertial frame of reference and the inertial coordinate system it induces. This comfortable circumstance ceases immediately once we begin to consider frames of reference in nonuniform motion even within special relativity.…More recently, to negotiate the obvious ambiguities of Einstein’s treatment, the notion of frame of reference has reappeared as a structure distinct from a coordinate system.>>
Et le disque en rotation dans un référentiel inertiel ? Les référentiels non inertiels ne peuvent être euclidiens...
Considérons un disque (D) en rotation uniforme autour d'un certain axe dans un référentiel inertiel R et supposons que toute entité qui lui est solidairement lié d'après R parait immobile dans un certain référentiel R', et que (D) a la structure d'un disque dans R'.
Il est courant d'affirmer que d’après la relativité restreinte, la circonférence du disque ne s'obtient pas en multipliant son diamètre par le nombre \pi dans les deux référentiels R et R'. Pour justifier ce propos, on évoque que pour déterminer la circonférence de (D), R' peut mesurer simultanément un grand nombre de très petit éléments de longueurs et que dans R ces éléments de longueurs se déplacent pendant de très petites durées avec chacun un vecteur constant. D’après le phénomène de contraction des longueurs de Lorentz, la circonférence constatée dans R est différente de celle constaté dans R' s'ils utilisent les mêmes étalons de mesure.
Le problème avec cette démonstration, c'est qu'on suppose physiquement réalisable une situation qu'on ne peut pas réaliser mathématiquement. En effet, en géométrie euclidienne, il n'existe pas d'élément de longueur, aussi petit soit-il, qui soit commun à un cercle et une droite tangente : si A et B sont deux points du cercle représentant les extrémités de cet élément de longueur, il y a une contradiction car le segment [AB] ne peut rencontrer l'arc de cercle (AB) qu'aux points A et B. Par ailleurs, le phénomène de contraction des longueurs de Lorentz a lieu entre des référentiels en translation uniforme et on ne peut trouver sur la circonférence du disque deux points matériels ayant à un quelconque instant le même vecteur vitesse dans R. Peut être est-il tout de même logique de supposer que la justification habituelle est approximativement valable si le disque étudié a un très grand rayon ?
Et comment étendre la théorie de la relativité restreinte sans le concept de l'espace-temps métrique ?
La transformation de Lorentz, formalisée par Poincaré, est initialement conçu par Voigt pour réaliser l'invariance des lois de l'électromagnétisme entre deux référentiels inertiels en translation uniforme sous l’hypothèse que la transformation des coordonnées cartésiennes d'espace et de temps (qu'on interprète comme des paramètres pertinents) entre ces référentiels est linéaire, et Albert Einstein en donnera une construction purement cinématique avec l’interprétation admise aujourd’hui. La cohérence théorique et expérimentale de la relativité restreinte impose la recherche d'une théorie étendue aux référentiels non inertiels. C'est une théorie métrique de la gravitation qui sera proposée et l'accélération sera pris en considération par une analogie entre les constats que peuvent faire des physiciens accélérés dans un système inertiel et des physiciens exposés à un champ de gravitation.
Dans mon document, je remarque que les lois empirique de l'électromagnétisme impliquent qu'il ne peut exister, en physique classique non relativiste, qu'un unique référentiel coulombien élément de la classe des référentiels galiléens. C'est le référentiel éther où la théorie de Maxwell est parfaitement cohérente.
Un référentiel coulombien est un référentiel galiléen, au sein duquel l'information électrique généré par une distribution de charges statiques présentant une symétrie sphérique est un champ E de vecteurs électrique qui décroissent en 1/r^2 à l'extérieur de la distribution et perturbent la trajectoire de toute autre entité chargée q suivant la loi F = q E. La deuxième loi de newton F = m a est valable par définition pour une particule immobile et lorsque la particule est en mouvement, la relation fondamentale de la dynamique est celle précisée par la relativité restreinte.
On ne peut mettre en évidence plus d'un référentiel coulombien, sur la base des mêmes lois empiriques, que si on admet que la transformation de Lorentz est réalisée entre les systèmes de coordonnées cartésiens qui sont relatifs à des bases orthonormées de l'espace.
Si on veut supposer que tout les référentiel sont galiléens, il faut admettre que la nature accélérée du mouvement d'une charge électrique lui permet de générer des champs de nature gravitationnelle. On sait déjà que le mouvement uniforme de cette charge lui permet de générer des champs de nature magnétique.
Qu'est-ce qu'un référentiel ?
Patrick Cornille (Akhlesh Lakhtakia, editor) (1993). Essays on the Formal Aspects of Electromagnetic Theory. World Scientific. p. 149. ISBN 9810208545.
<< We first introduce the notion of reference frame, itself related to the idea of observer: the reference frame is, in some sense, the "Euclidean space carried by the observer". Let us give a more mathematical definition:… the reference frame is... the set of all points in the Euclidean space with the rigid body motion of the observer. The frame, denoted R, is said to move with the observer.… The spatial positions of particles are labelled relative to a frame R by establishing a coordinate system R with origin O. The corresponding set of axes, sharing the rigid body motion of the frame R, can be considered to give a physical realization of R. In a frame R, coordinates are changed from R to R' by carrying out, at each instant of time, the same coordinate transformation on the components of intrinsic objects (vectors and tensors) introduced to represent physical quantities in this frame.>>
Dans mon document un référentiel est associé à une entité physique indivisible désignée par l'expression <particule élémentaire>. Cette entité est assimilée à une horloge régulière (ayant un concept intrinsèque de régularité du tic tac) apte à reconnaitre le mouvement ou l'immobilité de toute autre entité. Son espace physique, constitué de possibles entités immobile, est de nature euclidienne c'est à dire qu'il existe une certaine relation entre les nombres qu'ils peut utiliser pour représenter les distance spatiales entre les entités qui lui paraissent immobiles, le choix de l'étalon étant libre.
Ainsi, un physicien ne peut pas se promener dans son référentiel parce que par définition il y est immobile. Ce qu'il sait c'est qu'un signal d'origine électrique généré en un quelconque évènement se propage toujours dans le vide sous forme d'une sphère dont le rayon croit avec une vitesse constante. Cette hypothèse permet mathématiquement de préciser la structure des transformations admissibles réalisables entres les observateurs, un observateur étant un système de coordonnées cartésien relatif à une base orthonormée de l'espace. Les transformations admissibles ont la remarquable propriété d'être presque entièrement précisées par les dates attribuées aux différents évènements et il existe une méthode bien connue qu'une quelconque entité support d'un référentiel peut utiliser pour déterminer ces dates.
Utilisant les dates indiquées par son horloge numérique régulière pour décrire les coordonnées temporelles, l'entité sait que la date à laquelle se produit un évènement delta est la moyenne arithmétique de la date à laquelle elle doit émettre un signal d'origine électrique pour qu'il soit intercepté par delta qui lui renvoie immédiatement une réponse, et de la date à laquelle il intercepte cette réponse.
.
Bof... l'électromagnétisme de maxwell sans le milieu éther luminifère n'est pas cohérent ! les idées relativistes sont fondamentalement suspectes !
La théorie de l’électromagnétisme de maxwell attribue des constantes fondamentales au vide : permittivité électrique et perméabilité magnétique, vitesse de la lumière...
Conformément à la logique du document, la valeur de la vitesse de propagation d'un signal d'origine électrique hors de la matière identifiable est un choix d'étalons et par conséquent peut être quelconque par convention. Autrement dit, 299 792 458 m/s n'est pas une constante mise en évidence par la nature ou les mathématiques comme le nombre \pi exprimant la relation entre la circonférence d'un cercle et son rayon en géométrie euclidienne. En ce sens, les notions de permittivité électrique et perméabilité magnétiques ne décrivent pas le vide mais sont finalement propres aux modèles pertinents décrivant l'électromagnétisme dans des "milieux" purement matériels.
...
Rommel Nana Dutchou
Un sceptique hors du Québec
			Je viens vers vous défendre une théorie que je propose ce qui explique la longueur du message que vous voudrez l'analyser (je l'espère).
Mon travail est résumé dans le fichier : Une critique de la relativité générale
On a déduit la relativité générale de la théorie restreinte à partir d'un postulat de base physiquement infondé : il existe une quantité infinitésimale qui est conservée lors des changement de coordonnées. On doit déduire de cette idée naturelle l'extension de la pertinente relativité restreinte (centrée sur la transformation de Lorentz). Les outils mathématiques qu'on découvrira mettrons en évidence les lois de la physique, quelque soit leur degré de cohérence c'est à dire leur capacité à exprimer les grandeurs inhérentes à toute expérimentation que sont les distances spatiales entre entités immobiles et les durées de temps propres. Ces outils définirons ce qui est physiquement possible (quelle signification on peut donner à la notion de système de coordonnées).
Les mathématiques de cette théorie
En physique classique l'expression habituelle de la distance euclidienne est une quantité qui existe entre deux entités immobiles et qui est exprimée dans un certain système de coordonnées cartésien S qui est relatif à une base de l'espace physique affine reconnue comme orthonormée. Les application linéaires, définies sur l'ensemble des 4-réels, qui laissent invariante cette métrique sont telles que lorsqu'on les appliquent à S on obtient tous les autres systèmes de coordonnées de même nature qui sont immobiles par rapport à S. En relativité restreinte l'expression habituelle de la distance de Minkowski est une quantité qui existe entre deux événements et qui est exprimée dans un certain système de coordonnées cartésien S tel que précédemment décrit. Les application linéaires, définies sur l'ensemble des 4-réels, qui laissent invariante cette métrique sont telles que lorsqu'on les appliquent à S on obtient tous les autres systèmes de coordonnées de même nature qui sont éventuellement en translation uniforme par rapport à S.
En relativité générale l'univers quadridimensionnelle est supposé être un espace métrique et cette métrique est définie à l'aide de quantité infinitésimales qui existent entre des évènement topologiquement très proches et qui sont exprimées dans un système de coordonnées étendu et pertinent S (il peut s'agir des coordonnées de Schwarzschild). Pertinent car on ne sait plus dire cartésien mais bien que pertinent ce ne sont pas des coordonnées d'espace et de temps comme on peut en imaginer avec un concept d'immobilité et quantités d'horloges numériques régulières disposées dans cet état.
En mathématiques, un infinitésimal n'a de sens que proportionnellement à un autre (nombre dérivé) ou plus fondamentalement sous une intégrale. En physique classique ce qu'on mesure sur une surface décrite par les coordonnées de Gauss ce ne sont pas des infinitésimaux mais les longueurs des segments de courbes paramétrées. En mathématiques, relativement à une paramétrisation pertinente d'un espace métrique, un infinitésimal est une quantité qui dépend à la fois d'un point de cet espace métrique et d'une de ses courbes paramétrée : par intégration elle détermine les longueurs des segments de cette courbe.
Dans les mathématiques particulières de la relativité générale, les infinitésimaux de métrique dépendent uniquement des points de l'espace métrique ou il sont évalués et leur intégration n'a de sens que le long de certaines courbes paramétrées où ils décrivent la notion de temps propre.
Les grandeurs observables
Dans cette théorie, on sait décrire les géodésiques (trajectoires des corps libres) relativement à des systèmes de coordonnées étendus et pertinents S. On sait attribuer à chacun des évènements éléments de la géodésique d'un point matériel M dans S, un vecteur vitesse élément de l'espace vectoriel tangent à la variété pseudo-riemannienne qu'est le continuum espace-temps, et un temps propre. La notion de référentiel est donc bien définie et on peut citer des extrait de de Wikipédia pour clarifier ce propos :
Patrick Cornille (Akhlesh Lakhtakia, editor) (1993). Essays on the Formal Aspects of Electromagnetic Theory. World Scientific. p. 149. ISBN 9810208545.
<<As noted by Brillouin, a distinction between mathematical sets of coordinates and physical frames of reference must be made. The ignorance of such distinction is the source of much confusion… the dependent functions such as velocity for example, are measured with respect to a physical reference frame, but one is free to choose any mathematical coordinate system in which the equations are specified.>>
Graham Nerlich (1994). What Spacetime Explains: Metaphysical essays on space and time. Cambridge University Press. p. 64. ISBN 0521452619.
<<The idea of a reference frame is really quite different from that of a coordinate system. Frames differ just when they define different spaces (sets of rest points) or times (sets of simultaneous events). So the ideas of a space, a time, of rest and simultaneity, go inextricably together with that of frame. However, a mere shift of origin, or a purely spatial rotation of space coordinates results in a new coordinate system. So frames correspond at best to classes of coordinate systems.>>
Ce qui est étrange, c'est que près d'un siècle après sa publication cette théorie ne nous dit pas quand est ce que la géodésique d'un point matériel N dans S parait immobile pour le physicien M, elle ne nous dit pas ce que signifie pour le physicien M l'affirmation qu'un ou plusieurs points matériels lui paraissent immobiles (notion de distance spatiale).
John D. Norton (1993). General covariance and the foundations of general relativity: eight decades of dispute, Rep. Prog. Phys., 56, pp. 835-7.
<<In traditional developments of special and general relativity it has been customary not to distinguish between two quite distinct ideas. The first is the notion of a coordinate system, understood simply as the smooth, invertible assignment of four numbers to events in spacetime neighborhoods. The second, the frame of reference, refers to an idealized system used to assign such numbers … To avoid unnecessary restrictions, we can divorce this arrangement from metrical notions. … Of special importance for our purposes is that each frame of reference has a definite state of motion at each event of spacetime.…Within the context of special relativity and as long as we restrict ourselves to frames of reference in inertial motion, then little of importance depends on the difference between an inertial frame of reference and the inertial coordinate system it induces. This comfortable circumstance ceases immediately once we begin to consider frames of reference in nonuniform motion even within special relativity.…More recently, to negotiate the obvious ambiguities of Einstein’s treatment, the notion of frame of reference has reappeared as a structure distinct from a coordinate system.>>
Et le disque en rotation dans un référentiel inertiel ? Les référentiels non inertiels ne peuvent être euclidiens...
Considérons un disque (D) en rotation uniforme autour d'un certain axe dans un référentiel inertiel R et supposons que toute entité qui lui est solidairement lié d'après R parait immobile dans un certain référentiel R', et que (D) a la structure d'un disque dans R'.
Il est courant d'affirmer que d’après la relativité restreinte, la circonférence du disque ne s'obtient pas en multipliant son diamètre par le nombre \pi dans les deux référentiels R et R'. Pour justifier ce propos, on évoque que pour déterminer la circonférence de (D), R' peut mesurer simultanément un grand nombre de très petit éléments de longueurs et que dans R ces éléments de longueurs se déplacent pendant de très petites durées avec chacun un vecteur constant. D’après le phénomène de contraction des longueurs de Lorentz, la circonférence constatée dans R est différente de celle constaté dans R' s'ils utilisent les mêmes étalons de mesure.
Le problème avec cette démonstration, c'est qu'on suppose physiquement réalisable une situation qu'on ne peut pas réaliser mathématiquement. En effet, en géométrie euclidienne, il n'existe pas d'élément de longueur, aussi petit soit-il, qui soit commun à un cercle et une droite tangente : si A et B sont deux points du cercle représentant les extrémités de cet élément de longueur, il y a une contradiction car le segment [AB] ne peut rencontrer l'arc de cercle (AB) qu'aux points A et B. Par ailleurs, le phénomène de contraction des longueurs de Lorentz a lieu entre des référentiels en translation uniforme et on ne peut trouver sur la circonférence du disque deux points matériels ayant à un quelconque instant le même vecteur vitesse dans R. Peut être est-il tout de même logique de supposer que la justification habituelle est approximativement valable si le disque étudié a un très grand rayon ?
Et comment étendre la théorie de la relativité restreinte sans le concept de l'espace-temps métrique ?
La transformation de Lorentz, formalisée par Poincaré, est initialement conçu par Voigt pour réaliser l'invariance des lois de l'électromagnétisme entre deux référentiels inertiels en translation uniforme sous l’hypothèse que la transformation des coordonnées cartésiennes d'espace et de temps (qu'on interprète comme des paramètres pertinents) entre ces référentiels est linéaire, et Albert Einstein en donnera une construction purement cinématique avec l’interprétation admise aujourd’hui. La cohérence théorique et expérimentale de la relativité restreinte impose la recherche d'une théorie étendue aux référentiels non inertiels. C'est une théorie métrique de la gravitation qui sera proposée et l'accélération sera pris en considération par une analogie entre les constats que peuvent faire des physiciens accélérés dans un système inertiel et des physiciens exposés à un champ de gravitation.
Dans mon document, je remarque que les lois empirique de l'électromagnétisme impliquent qu'il ne peut exister, en physique classique non relativiste, qu'un unique référentiel coulombien élément de la classe des référentiels galiléens. C'est le référentiel éther où la théorie de Maxwell est parfaitement cohérente.
Un référentiel coulombien est un référentiel galiléen, au sein duquel l'information électrique généré par une distribution de charges statiques présentant une symétrie sphérique est un champ E de vecteurs électrique qui décroissent en 1/r^2 à l'extérieur de la distribution et perturbent la trajectoire de toute autre entité chargée q suivant la loi F = q E. La deuxième loi de newton F = m a est valable par définition pour une particule immobile et lorsque la particule est en mouvement, la relation fondamentale de la dynamique est celle précisée par la relativité restreinte.
On ne peut mettre en évidence plus d'un référentiel coulombien, sur la base des mêmes lois empiriques, que si on admet que la transformation de Lorentz est réalisée entre les systèmes de coordonnées cartésiens qui sont relatifs à des bases orthonormées de l'espace.
Si on veut supposer que tout les référentiel sont galiléens, il faut admettre que la nature accélérée du mouvement d'une charge électrique lui permet de générer des champs de nature gravitationnelle. On sait déjà que le mouvement uniforme de cette charge lui permet de générer des champs de nature magnétique.
Qu'est-ce qu'un référentiel ?
Patrick Cornille (Akhlesh Lakhtakia, editor) (1993). Essays on the Formal Aspects of Electromagnetic Theory. World Scientific. p. 149. ISBN 9810208545.
<< We first introduce the notion of reference frame, itself related to the idea of observer: the reference frame is, in some sense, the "Euclidean space carried by the observer". Let us give a more mathematical definition:… the reference frame is... the set of all points in the Euclidean space with the rigid body motion of the observer. The frame, denoted R, is said to move with the observer.… The spatial positions of particles are labelled relative to a frame R by establishing a coordinate system R with origin O. The corresponding set of axes, sharing the rigid body motion of the frame R, can be considered to give a physical realization of R. In a frame R, coordinates are changed from R to R' by carrying out, at each instant of time, the same coordinate transformation on the components of intrinsic objects (vectors and tensors) introduced to represent physical quantities in this frame.>>
Dans mon document un référentiel est associé à une entité physique indivisible désignée par l'expression <particule élémentaire>. Cette entité est assimilée à une horloge régulière (ayant un concept intrinsèque de régularité du tic tac) apte à reconnaitre le mouvement ou l'immobilité de toute autre entité. Son espace physique, constitué de possibles entités immobile, est de nature euclidienne c'est à dire qu'il existe une certaine relation entre les nombres qu'ils peut utiliser pour représenter les distance spatiales entre les entités qui lui paraissent immobiles, le choix de l'étalon étant libre.
Ainsi, un physicien ne peut pas se promener dans son référentiel parce que par définition il y est immobile. Ce qu'il sait c'est qu'un signal d'origine électrique généré en un quelconque évènement se propage toujours dans le vide sous forme d'une sphère dont le rayon croit avec une vitesse constante. Cette hypothèse permet mathématiquement de préciser la structure des transformations admissibles réalisables entres les observateurs, un observateur étant un système de coordonnées cartésien relatif à une base orthonormée de l'espace. Les transformations admissibles ont la remarquable propriété d'être presque entièrement précisées par les dates attribuées aux différents évènements et il existe une méthode bien connue qu'une quelconque entité support d'un référentiel peut utiliser pour déterminer ces dates.
Utilisant les dates indiquées par son horloge numérique régulière pour décrire les coordonnées temporelles, l'entité sait que la date à laquelle se produit un évènement delta est la moyenne arithmétique de la date à laquelle elle doit émettre un signal d'origine électrique pour qu'il soit intercepté par delta qui lui renvoie immédiatement une réponse, et de la date à laquelle il intercepte cette réponse.
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Bof... l'électromagnétisme de maxwell sans le milieu éther luminifère n'est pas cohérent ! les idées relativistes sont fondamentalement suspectes !
La théorie de l’électromagnétisme de maxwell attribue des constantes fondamentales au vide : permittivité électrique et perméabilité magnétique, vitesse de la lumière...
Conformément à la logique du document, la valeur de la vitesse de propagation d'un signal d'origine électrique hors de la matière identifiable est un choix d'étalons et par conséquent peut être quelconque par convention. Autrement dit, 299 792 458 m/s n'est pas une constante mise en évidence par la nature ou les mathématiques comme le nombre \pi exprimant la relation entre la circonférence d'un cercle et son rayon en géométrie euclidienne. En ce sens, les notions de permittivité électrique et perméabilité magnétiques ne décrivent pas le vide mais sont finalement propres aux modèles pertinents décrivant l'électromagnétisme dans des "milieux" purement matériels.
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Rommel Nana Dutchou
Un sceptique hors du Québec
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