Samuel Rooke a écrit :Nous n'avions pas besoin de voiture quand celle-ci n'existait pas, ni de l'avion; on se contentait du cheval et du bateau qui, eux aussi, sont devenue des besoins lors de leur apprivoisement/invention...
On peut marcher aussi. Je ne pense pas que la voiture soit un besoin essentiel pour la très grande majorité des étudiants.
53% des étudiants ayant droits aux prêts et bourses ont une auto!
Samuel Rooke a écrit :Pogner avec un bris quelconque dans le parc des laurentide,
Tiens, notre étudiant en auto se promène maintenant dans le parc des laurentides. Maintenant, il a aussi besoin d'un cellulaire.
Étrange, je suis capable de passer par là sans cellulaire.
Samuel Rooke a écrit :quand un accident se produit,
Faut vivre avec les moyens du bord. Je n'ai pas de cellulaire et je suis capable de me promener en masse, dont dans le parc des laurentides, le parc de la Gaspésie, le parc des Adirondacks, du mont Washington, etc. Ça se fait en masse.
Pas très convainquant comme argument.
Samuel Rooke a écrit :quand ton employeur tente de te rejoindre pour [x] raisons urgente,
Ouais, la cantine du coin est sûrement obligée de pouvoir contacter un étudiants 7/7, 24/24.
Pas convainquant.
Samuel Rooke a écrit :quelqu'un se fait frapper, une personne tente désespérément de mettre fin à ses jours et qui est perchée prêtes à sauter par dessus la rampu du pont de Qubec : quel est le meilleur moyen de s'en sortir aujourd'hui, en mars 2012 ?
Il y a plus de chances d'avoir besoin de booster une auto que de tomber sur qqun qui se pitche en bas du pont. Pourtant, il y a plus de gens qui ont un cellulaire que de câbles à booster. Des câbles à booster, c'est pas pratique quand on veut caller un party...!
Tes arguments sont ridicules. À partir de la même justification, on pourrait justifier des tas d'autres choses. Ça ne fait pas sérieux comme argumentation et ça ne fait que discréditer les bons arguments.
On pourrait analyser les relevés de cellulaire pour voir combien d'appel pour un suicidaire ou un accident il y a... iiich!
Samuel Rooke a écrit :Inverter des besoins !! C'est la meilleur
Absolument, et tes arguments ne font que le confirmer. Plus tu en ajoutes, plus tu démontres que ce sont de faux besoins.
Belle vision de l'éducation!! Pour vous un Maître en littérature ne fera que "flipper" des boulettes toutes sa vie ? Mmm ... on repassera.
Il a de bonnes chances d'aboutir à qqpart où sa maîtrise ne sert pas à grand chose. C'est la vie.
Le seul espoir de ce genre d'études et de pouvoir l'enseigner à d'autres qui perpétuerons le cycle.
Sachant que plusieurs ont une auto
Samuel Rooke a écrit :Je vous demande le pourcentage d'étudiants qui ont une voiture et, à partir de là, on parlera de ce genre de possession avec sérieux. Quoi que j'avoux, certains devraient vendre leurs Honda.
53% de ceux qui ont droit aux prêts et bourse. On peut se douter que c'est encore plus élevé chez ceux qui n'y ont pas droit.
Allez-y, expliquez-nous à quel point c'est aussi un besoin essentiel!
téléphone pour twitter des niaiseries
Samuel Rooke a écrit :Vous sortez du cadre que j'ai mentionner avec dénigration, rien à dire ...
Déjà que votre argumentation pour justifier un cellulaire est plutôt caricaturale, essayez de justifier le 47% de téléphone intelligents!!! Pour prendre une photo du gars qui veut se suicider?
5-études qui ne serviront à rien
Samuel Rooke a écrit :Effectivement... mais faudrait prouver que les études en questions ne servent à rien, chose qui sera dûr, car le savoir d'une personne ne se limite pas à la profession. Une population intellectuellement actives vaux mieux qu'une population intellectuellement inactives peu importe le métier.
Malheureusement, les ressources sont limitées et on doit les investir là où c'est le plus rentable. Une maîtrise en littérature pour écrire le menu de la cantine, bof, me semble que c'est cher payé...
6-études dans un domaine où le nombre de gens formés dépasse nettement les besoins
Samuel Rooke a écrit :Ce point est un débat en soit - sommes nous surdiplomer pour le travail demandé ? Encore une fois, c'est brûmeux et philosophique.
Je ne parle pas de surdiplômés, je parle de domaines où les débouchés sont bien moindre que le nombre de gens formés.