Gaël : Et je ne répondais pas à ce que vous disiez à Martin, mais à la manipulation à laquelle vous vous livriez une fois de plus en déformant mes propos. N'aurais-je pas le droit de répondre quand vous prétendez me citer mais qu'en fait vous écrivez de choses totalement contraires à ce que j'ai réellement dit ?
Ca vous dérange tellement que je vous fasse remarquer que vous venez de dire une connerie ?
GAEL:Ce que je précise, c'est que quel que soit le journal, même très sérieux, ça n'a aucune valeur. Nous n'avons pas à faire confiance à des faits divers.
GATTI: et a cause de cette idée préconçue tous les faits divers etant forcement faux gatti est un con OK
Gaël : Je n'ai jamais dit que tous les faits divers étaient faux, une fois de plus vous manipulez à votre guise mes propos. Si vous n'avez pas d'autre moyen de débattre qu'en créant des épouvantails et en me faisant dire systématiquement ce que je n'ai jamais dit pour pouvoir réfuter triomphalement ces propos, il ne faut pas vous étonner de vous faire insulter.
Je répète que je vous ai fourni des références et des exemples, qui confirment le fait que les faits divers qu'on trouve dans même dans les journaux les plus prestigieux, sont parfois totalement faux. Par là même ce n'est pas préconcue : je me base sur des faits
Tout ce que je dis, c'est que connaissant le peu de valeur des faits divers, il est navrant de vous voir depuis des semaines ressortir votre article de la gazette de Grayle comme si c'était une preuve évidente que nous refusions de voir. Nous n'avons pas la moindre raison de faire confiance à un fait divers trouvé dans un journal, quel qu'il soit (et encore moins s'il vient d'un numéro vieux de 150 ans d'une gazette locale), s'il n'est pas etayé par des preuves.
Vous faites une enquète ? OK, tant mieux, je n'ai rien contre. Mais alors évitez vos déclarations triomphalistes en attendant de trouver des preuves, car pour l'instant vous n'avez rien, strictement rien, à part vos illusions et votre navrante crédulité.
Et j'ignore pourquoi je perd mon temps à vous répéter ce que j'ai déjà dit je ne sais combien de fois, sans que vous soyez capable de fournir le moindre argument en votre faveur.
G.
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