L'affaire pas très élégante des cookies étant la goutte d'eau qui fait déborder le vase, je redemande une ultime fois à JF ce cesser ce petit manège.
Il est tellement étourdi qu'il répond maintenant a mes menaces (à peine voilées qui seront exécutées très bientôt si il ,persiste) sous le pseudonyme d' "état major" .Vraiment la naïveté de ce tchampallon n'a pas de bornes.
Mise en garde :
A la prochaine intervention vicelarde de JF dûment vérifiée et authentifiée par les code textes (et autres moyens informatiques a ma disposition) une première lettre sera envoyée à son chef de service.
Dans un deuxième temps, (si l'énergumène est vraiment maso et persiste) , les preuves informatiques dont je dispose seront au sujet des messages truqués (affaire grave qui va lui coûter cher) seront envoyée a la directrice du CNRS ainsi qu'a un organisme habilité a comptabiliser les dysfonctionnement de cette honorable institution).
C'est clair monsieur L'ETAT MAJOR HERCULE !
NB: Pour ce qui concerne sa copine FLO , qui a décidé d'axer Sa plaidoirie sur la débilité de GATTI; (ce qui en soit ne serait pas ridicule dans la mesure ou ce serait prouvable) Je lui ferai remarquer au passage que c'est une atteinte a la dignité que je dénonce depuis des lustres qui ne peut en aucun cas servir d'argument pour me faire enfermer dans un asile. J'ai des éléments de preuve extrêmement utiles pour conforter l'affaire des poltergeist de PANTEL et la discussion sur les trou dans le verre reprendra bientôt ici, que çà vous plaise ou pas. Les arguments concernant le MIT pourraient être arbitrés prochainement ici par un physicien de haut niveau mandaté par une instance officielle. D'autre part, a titre d'exemple , je vous met au défi de me dire ce qu'il y aurai de débile dans le message suivant que j'ai posté ici au moi de décembre 2000.
Si vous êtes une illettrée en physique au minimum pourriez vous commencer a "entraver" que les universités ne sont pas tendre avec la paranormalité; il n'empêche que de temps a autre elles soulèvent de bonnes questions.
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