Je ne comprends d'ailleurs pas votre attaque. Mon commentaire visait simplement à marquer mon étonnement devant certaines attitudes qui semblent acceptées par les sceptiques. Et justement, des arguments comme "Pfff" n'ont, à mon avis, rien à faire dans la démarche d'un sceptique.
Les effets rhétoriques devraient être évités.
J'ai lu les commentaires de M. Gatti et je comprends qu'un comportement pareil puisse vous exaspérer. Ce n'est pas de lui dont je parlais dans mon commentaire précédent. Ce dont je parlais, c'est d'auteurs comme Bowman qui, sans jamais s'attaquer aux faits, commencent par traiter Sheldrake de cinglé.
Je crois aussi avoir été clair: il me semble que la réfutation de Sheldrake par Marks et Colwell est largement convaincante. Et pourtant, jamais ces auteurs ne traitent Sheldrake de quoi que ce soit. Ils se contentent de suivre le raisonnement de Sheldrake et de présenter ses faiblesses. C'est très efficace.
Bref, je ne crois avoir rien affirmé, dans mon commentaire précédent, qui justifie une rebuffade aussi méprisante. J'ai simplement constaté que certains sceptiques - sans aucune volonté de généralisation - ont une attitude fort peu rationnelle. Il serait bon de remettre en question leur appartenance à une véritable démarche sceptique.
Merci de votre attention.
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