Les constatations (très mal formulées, il est vrai) que l'on nous fait "lever les yeux au ciel pour mieux nous voler notre portefeuille", que l'on utilise systématiquement l'argument de "qui vole un oeuf, vole un boeuf" (et, ajouterai-je "qui vole un boeuf est vachement costaud":-)) pour justifier des mesures répressives démesurées ?
La couleuvre n'a-t-elle jamais déclamé, dans sa lointaine jeunesse, à ses parents, enseignants et camarades que "le monde que vous nous laissez est pourri, on nous manipule !" ?
Allons, allons, camarade couleuvre, ne tournez pas à la "vipère lubrique"; le discours apocalyptique de Dame Sylva n'est pas nouveau et bien excessif, mais il aborde une problématique réelle qui ne mérite pas les qualificatifs de vain et futile, ni même de bouillie pour les chats, encore moins une escalade de propos désobligeants.
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