«Le hic, c'est que cette approche venait d'un méchant pays de l'Est, l'Empire du Mal en personne, de Géorgie, URSS. 1-0
contre les phages. Motif: politique.
Aussi, à l'époque, la génétique était presqu'à l'état de rêve et on ne pouvait fabriquer quoique ce soit de transgénique. Autrement dit on ne pouvait modifier la vie ou ce qui s'en approche (i.e. virus). Or, une fois qu'on a le bon virus, que celui-ci mue au même rythme que la bactérie à tuer, quelle amélioration peut-on apporter au remède? Comment justifier la sortie d'un nouveau produit? Et de là, comment développer son marché et augmenter ses profits?
L'Occident a donc choisi, après falsification de tests probants, de s'en remettre à sa sacro-sainte libre entreprise et depuis, c'est
la course aux nouveaux antibiotiques.. et aux profits accrus.»
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