J'peux pas,c'est sûr,dans ma réponse à Raphaël
Oblitérer le signe de sa psychose,
Quant à la rime de son prénom avec poubelles,
C'est là le choix cruel que son poème impose.
Ce n'est pas moi qui le dit,puisqu'il le dit tout de même,
Quand n'hésitant pas à y louer ma sagesse,
Il invoque le démon,le démon lui-même,
Qui n'hésite certes pas à lui botter les fesses.
________________________________________________________________________
Poème de Raphaël.
Je pourrais, c'est sûr, dans ma réponse à Rimbeaux
M'étonner de son talent de virtuose
Mais quant à son vrai prénom qui n'a rien de beau
C'est là le sort cruel que son "père" lui impose.
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est le jaloux lui-même
Quand n'hésitant pas à louer ses prouesses
Il prouve qu'il est le démon, car c'est bien lui-même
Qui s'en tire encore par la peau des fesses.
________________________________________________________
Reprendre à qui mieux mieux, voilà une bonne affaire,
Les expressions des autres, économie d'efforts.
La vie est ainsi faite, que quand on est plagiaire,
On finit par répondre, même si ce n'est pas très fort.
Toute une journée pour ça, jugez de ma surprise,
Lorsque l'hermaphrodite, s'adressant au Parnasse,
Y développe à loisir, dans ses moments de crise,
Les signes indubitables de son ignorance crasse.
Rimbeaux
|