Pour mettre les points sur les «i», ceci veut dire que d'un point de vue philosophique, on peut facilement affirmer que la science ne produit jamais de «vraies» certitudes, puisqu'on ne peut jamais mesurer celles-ci à l'ensemble de la réalité (puisqu'on ne la connaît pas: fameux problème de l'induction en épistémologie). Ce qui est plus difficile à faire, c'est de proposer une alternative. V. mon autre message, mais en gros la conséquence est que la certitude scientifique est incertaine de par sa nature--mais que c'est en quelque sorte cette flexibilité qui fait sa solidité.