Je comprends bien la gravité de la situation face à «prolificité» (ouate ?) des «re» (qu'on prononce soit dit en passant pour ceux qui ont fait leurs éléments latins, syntaxe, etc..: «ré»). Mais que dire des messages qui eux «font le saut» dans l'autre page ? La suivante ? Le jeune cimetière, l'autre monde, celui du passé, où les cendres redescendent sur des écrits abandonnés à l'oubli général, morts ou à peine grouillant de spasmes nerveux, et qui ne seront sans doute jamais lus, sinon par quelque «écarté» en mal d'archives.