OK.
Voilà une porte ouverte bien enfonçée.
La question posée en termes quantitatifs et non qualitatifs serait : est-ce que l'activité scientifique est plus sujette ou moins sujette aux "dérives" que les autres activités humaines ?
Qu'entend-on exactement par "dérives" ?
Une fois la définition posée, est-il possible de quantifier ces "dérives" ?
Si oui, quel est le référentiel nous permettant d'effectuer cette quantification ?
Et au fait, quel(s) facteur(s) influ(en)t sur ces "dérives" ?
De telles questions ont-elles un intérêt ?
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