Et d'un autre côté, les tenants du paranormal se voit indigné d'une réponse de ce genre: "been there done that". Un gros problème, c'est:
1) le manque d'information de certains intervenants (disons à propos d'un FAQ du forum)
2) la faiblesse d'argumentation de certains intervenants (et ce que chaque 'côtés' de la 'médaille'.
3) les allez-retour du genre faites ce que je dis mais pas ce que je fais. (mon exemple préféré étant celui où Gene nous demande d'aller nous-même chercher des voyants (on sait pas trop où et lui non plus semble-t-il), alors qu'il ne veut pas lui même aller se renseigner là où on lui a suggéré d'aller(à un endroit bien précis et facile à trouver))
En gros je pense que le messages des sceptiques est le suivant:
"Vous avez parfaitement le droit de croire tout ce que vous voudrez, à votre guise, ça ne nous dérange pas. Mais à partir du moment où vous dites que l'objet de votre croyance existe, est réelle ou est vraie, les sceptiques demandent des 'preuves'"
Et on dirait que la plupart ne comprennent pas ça. Certains s'imagine qu'on 'croit' fortement et fondamentalement que ce qu'ils disent est faux. On ne le croit pas. Ils ne nous l'ont pas prouvé. Ce n'est pas la même chose. Nous n'en avons pas contre leurs croyances. Nous en avons contre leurs prétentions sur ce qu'est la réalité. Nous voulons des preuves.
Et lorsque le moment venu de poser cette question fatidique et si primordiale, certains se défilent. D'autre tournent autours du pots. D'autres présentent ce qu'ils croient être des preuves qui n'en sont pas. Et les pires prétendent que les preuves ne sont pas nécéssaires ! C'est, je pense, ce qui est le plus choquant.
De la part de 'non-sceptiques', je pense plutôt que le problème vient du fait qu'ils pense les sceptiques d'être de mauvaise foi lorsqu'on n'accepte pas leurs preuves. Ça doit être choquant aussi. (Ça doit être aussi choquant de voir quelqu'un qui n'accepte pas ce que l'on considère être une preuve que de réaliser que ce n'en était pas une. Et ce sans je préjuge de ce qui est vrai là-dedans.)
Alors rendus là, il n'en faut pas beaucoup pour que ça dégénère. Nous avons un excellent exemple qu'il est possible d'avoir une conversation sensé et intelligente avec un croyant: Bleu. Je prétend que cela est possible uniquement parce que Bleu a le minimum de bon sens qui lui permet de distinguer le 'monde réel' de ses croyances. Il a conscience que ses croyances sont personnelles, qu'elles pourraient être contreversées et qu'elles n'ont pas d'incidences sur le 'réel'. Il n'en discute pas. Nous en avons discuter lors de ses premières intervantions, et dès lors qu'il a réalisé où il se tenait dans tout cela il en a été satisfait. (Est-ce que je me trompe Bleu ?)
Nous avons un excellent exemple de son parfait contraire. Inutile d'en parler plus.
Bon. C'est un peu long, je m'en excuse. Il nous faut vraiment un FAQ !!!