Vous aviez de l'esprit au tout début, puis de moins en moins, pour terminer dans de la quais vulgarité et une familiarité que je ne prise guère.
D'amusant, vous devenez, ma foi, peu de chose. Mais dès que vous exercerez suffisamment votre esprit et que vous lui redonnerez une énergie nouvelle (un peu de viagra résoudrait sûrement la question, du viagra intellectuel, s'entend) alors je retrouverai ma verve.
Mais c'est que vous n'avez rien à dire. Les insultes, les qualificatifs, ça dure un temps mais c'est quelque peu répétitif. Revenez à Nostradamus et là, vous me retrouverez!
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