Entre les haridelles dont le but est d'obtenir vengeance pour les discriminations vraies ou supposées qu'ont subies les femmes depuis le début du monde, les utopistes qui croient à l'existence passée de paradis idylliques sous férule féminine et voudraient les remettre au goût du jour et les allumées qui s'imaginent faire avancer le schmilblick en rescuscitant de soi-disant pratiques magiques réinventées par les romantiques anglo-saxons du 19è siècle, augmentées des délires à la Blatvaski et Bailey, épicées par des récits de science-fantasy-fiction, le tout passé au bol-mélangeur new-âge, il y a à boire et à manger (de préférence avec un peu d'alka-selzer).
C'est tellement plus facile de croire que tout va s'arranger en récitant des incantations et fabriquant des amulettes que d'aller au charbon jour après jour ...