Dans le journal La Presse de lundi, ils donnaient plus d'informations que dans la référence que j'ai fournie. Deux "thérapeutes" ont participé à "l'exécution" avec la participation active de la mère adoptive qui voulait régler un soit-disant problème de communication affective de la fillette avec elle. Les deux thérapeutes ont été condamnés à seize ans, l'article ne disait pas ce qu'il en était pour la "mère".
Jusqu'à quel point doit-on sanctionner la bêtise humaine? Bonne question! Est-ce que le fait d'appartenir à une religion ou adepte d'une croyance peut servir de défense? Je me demande ce qu'en dit le droit criminel.