J'ai cru pouvoir en profiter pour insister encore sur ce point : ce n'est parce que nous serons arbitraires et réductionnistes que nous devons renoncer à utiliser une définition de l'intelligence , tout au contraire il nous faut partir de définitions ( éventuellement successives, en vue d'une réduction éidétique ultérieure si possible) arbitraires et réductionnistes. Le tout est de le savoir, et tout va bien...
J'en profite pour une remarque que je reporte depuis quelque temps : la relativité culuturelle a beaucoup été avancée dans ce débat , soit mais néanmoins : et alors ? La culture n'est-elle pas aussi un produit de la nature? Si la culture détermine notre définition de l'intelligence n'est-ce pas aussi l'intelligence qui a déterminé la culture ? Or il n'est pas d'homme sans culture . Alors cette relativité est aussi un absolu : partout l'intelligence a produit une culture. Si bien que : où est le problème si, encore une fois, tout simplement on le sait ?
Mais il y a plus, et c'est Claude qui a introduit le thème : l'intelligence va produire de l'intelligence hors du cerveau humain...le cerveau va produire du cerveau : on dit intelligence artificielle, et bien sûr nous continuerons à l'appeler comme ça, mais en toute rigueur : pourquoi "artificielle" ?
Salut à tous.