Pour pouvoir commenter à peu près convenablement la phrase "Si l’on choisit deux ensembles A et B au hasard dans le référentiel naturel, la probabilité pour qu’ils aient des points communs est faible", il faudrait commencer par bien définir ce fameux "référentiel naturel".
Dans le contexte initial, il semblait désigner à peu près "l'ensemble de tous les objets et de toutes les idées". C'est un gros bidule qui flirte un peu avec l'ensemble de "TOUT", où les paradoxes logiques fusent de tout bord, tout côté.
Et même si on suppose que ce "référentiel naturel" est bien défini, il reste à préciser de quelle façon les ensembles A et B y sont choisis "au hasard". Est-ce uniformément parmi tous les sous-ensembles possibles? Est-ce non-uniformément? L'auteur ne précise pas.
Difficile de calculer la probabilité que A et B aient des éléments communs sans savoir quel est l'ensemble universel de référence et sans savoir comment A et B sont choisis. Pour l'instant, je suis dans la purée.
Salutations,
Denis