«Je ne sais pas faire de "gros" points d'interrogation, et ne connais pas d'autre manière de poser une question.»
ÉVARISTE
JF trouve que :
«Vous supportez plus facilement les tombereaux d'insanités proférés par le POF que le franc-parler de Stéphane?»
est une question honnêtement posée, because le point ? à la fin... quand on vient de lire une phrase «à l’affirmatif».
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JF
«Je [...] ne connais pas d'autre manière de poser une question.»
ÉVARISTE :
Il y a d’autres méthodes, plus courantes et plus honnêtes. Plus honnêtes p.c.q. elles laissent voir DÈS LE DÉBUT qu'il s'agit d'une question.
Voici trois exemples :
«Supportez-vous [...] ?»
«Est-ce que vous supportez [...] ?»
«Est-il possible que vous supportiez [...]».
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CONCLUSION
Naturellement, ces trois façons classiques de poser une question ont le désavantage de montrer dès le départ au lecteur qu’il s’agit d’une question. «Désavantage», en effet, pour qui voudrait en réalité formuler une affirmation tout en l’habillant, pour la forme, et pour se couvrir, d’un mini vêtement interrogatif à la fin.
P.-S.
Devrais-je proposer de petits exercices avec ça ? Un chausson ?
P.-S.
Je n’ai pas écrit : «Je devrais [...] ?»
Évariste Galois-qui-pose-autant-que-possible-des-questions-qui-ne-laisse-planer-aucune-ambiguïté-sur-leur-valeur-interrogative
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