Je connais beaucoup de personnes intelligentes, qui à tout autres égards ont un esprit critique développé, qui sont incapable de questionner leur propre foi dans les dogmes catholiques. Cette une zone interdite. Le premier commandement est d'ailleurs de croire en l'unique dieu. Le doute et le questionnement sur l'existence de dieu est une forme de blasphême ou de pécher. L'esprit critique de beaucoup de croyants est encore muselé par la peur inculquée par les curés.
Les croyants ont une aversion pour le doute lorsqu'il sagît de l'existence de dieu. C'est comme s'ils admettaient qu'ils ont peur d'arrêter de croire si ils commettent l'imprudence de laisser le doute entrer dans leur esprit. Cela témoigne du peu de confiance qu'ils ont en la robustesse de leur propre foi; ils n'osent pas la mettre à l'épreuve.
Renoncer à la religion est une sorte de deuil de dieu. C'est comme accepter que dieu est mort. C'est un changement drastique dans une vie. Ils y a des gens qui n'arrivent pas à admettre, à faire un deuil du départ d'un être proches comme un enfant, un conjoint, ou un parent. Alors imaginez l'effort émotionnel qu'il faut au gens qui ont été croyants toute leur vie pour envisager la possibilté que dieu n'existe pas. C'est comme si on leur retirait le centre de leur univers. De plus, c'est leur dire qu'ils ne vivront pas éternellement comme ils l'ont toujours cru. C'est assez difficile à accepter. C'est un deuil à accepter. Plusieurs ne peuvent y parvenir.
Heureux sont ceux qui font ce deuil car une foi passé le premier choc, le fait de savoir qu'on ne vivra pas éternellement nous fait apprécier la vie d'avantage. Si il n'y avait pas tant de gens qui croient à la vie aprés la mort, on aurait peut être plus de respect pour la vie, on seraient moins prêt à mourir ou tuer pour une cause. Il y aurait moins de guerres.
Gilles C.