Postée par Claude Mac Duff , Oct 08,1999,14:02 | Index | Forum |
Une mission prévue de longue date, semblable à bien d'autres, a foiré parce que des spécialistes-techniciens-savants-mettez-en se sont trompés dans les mesures selon le système utilisé ! Non, mais, ça-se peut-tu !!!
Cette joyeuse histoire triste à en pleurer me fait penser à une autre belle histoire tirée d'un livre que tout le monde connaît, et auquel on pourrait faire référence si ce livre, justement, n"était pas contesté dans la nature de ses récits, même s'il est le plus vendu au monde depuis sa rédaction. Je parle ici de la Bible. Quand j'ai lu l'histoire de la mission qui a foiré à cause d'une banale interprétation de mesures (que l'on pourrait en fait rapprocher de la langue utilisée), cela m'a rappelé une fameuse tour biblique où, tout d'un coup, tout le monde ne se comprenait plus parce que Dieu, dans sa juste colère de Dieu outragé, avait décidé de mêler les langues des hommes pour les punir d'avoir voulu bâtir une tour qui devait se rendre jusqu'à lui. Comme quoi Dieu protégeait sa propriété céleste, comme vus et moi devant les passants qui marchent distraitement sur le gazon devant la maison... IL aurait dû mettre un écriteau : please, keep off the sky, pour empêcher les humains d'essayer d'aller le rejoindre dans sa résidence céleste...
3000 ans plus tard (ou presque : notez ici l'ésotérisme datatif de cette répétition...), Dieu se fâche encore et fait parler les savants qui veulent encore aller le rejoindre dans son ciel martien, en les confondant dans leurs échanges de langage, ou de mesures, cela revient au même.... Ben, coudon, Dieu a la rancune longue : Il y pense encore après 3000 ans et des poussières. Et kaput pour la tour (la mission spatiale) qui avait l'arrogance de vouloir percer le secret de Sa création martienne... Cela me fait penser à un gag que j'ai déjà entendu où on disait que l'organe viril d'un Québécois y regagnait sur celui d'un Français, parce que celui du Québécois mesure une verge, alors que le Français se contente d'un petit mêtre et y perd 3 pouces...
Bref, question de mauvaise interprétation, j'en vois un qui va rigoler dans sa moustache, à ce sujet. Richard, Glenn de son nom, va certainement y voir là l'influence des petits gris qui, comme tout bon ésotériste le sait, sont derrière la face martienne sculptée dans le sol martien, les profonds canyons de Mars, et les interruptions régulières des échanges-radio avec les missions spatiales. Déjà que, lors d'une mission lunaire, un des astronautes avait lâché l'expression : Santa Claus really exists, ce qui avait donné lieu à tous les ufologues et ésotéristes d'y voir là allusion au fait que ledit astronaute en question avait vu des preuves de vie intelligente sur la Lune, où des ovnis, ou Dieu sait quoi...
Bref, cet échec restera comme une tache dans l'histoire de la conquête de l'Espace, et je vois déjà l'expression de plaisir ou de contentement des créationnistes et autres tenants de la vérité biblique qui, eux, y verront là certainement, et non à la blague comme moi, la preuve de la main de Dieu qui a créé l'homme (et la femme, bien entendu...) pour rester sur terre, et non pas pour essayer de voler comme les oiseaux et de vouloir égaler Dieu dans sa création et sa puissance.
En tout cas, je vais aller fureter sur le site de Glen, et certains dits religieux, pour voir si on parle de cet échec, et en quels termes. Mais si d'autres intervenants de ce forum en ont des échos, disons inhabituels, bizarres ou carrément excentriques, ne vous gênez pas pour faire connaître aux autres ces interprétations saugrenues de cet échec.
En attendant, pour le plaisir de vous voir rire un bon coup, je vous annonce que, en plus des films de fin du monde qui doivent sortir au cinéma au cours des semaines prochaines, il y a déjà 4 téléfilms américains qui profitent de l'actualité au sujet des tremblements de terre et autres désastres. Une énième mouture de film-catastrophe où, cette fois, c'est New York qui est détruite par un tremblement de terre
(décidément, New York obtient la palme comme ville-vedette de toutes les catastrophes cinématographiques), et un autre où un train en folie bondé
de monde est non stoppable. IL y avait déjà eu un téléfilm où un train transportant une bombe atomique avait pété près d'une ville américaine.
Un autre au sujet d'un groupe terroriste qui veut répandre sur New York (!!!) un virus puissant (qui n'est pas le bogue maudit), et un autre au sujet du président qui va se faire « mettre » en boîte, non par une autre Monika, mais par un complot diabolique (au sens biblique du mot) pour prendre le contrôle des États-Unis (pourquoi que ce ne serait pas le Québec, une fois, comme ça, juste pour le fun de la chose ???). Tiens, justement, au moment d'écrire ça, le gros Bill se pointe à Ottawa pour parler des bienfaits du fédéralisme. Ce serait-tu pas, par hasard, le début de ce complot pour prendre « possession » du Québec et du Canada; les Américains sont friands de complot, ce serait un bon début, non ?
Bon, en attendant les VRAIS cataclysmes de l'an 2000, je vous laisse là-dessus.
Au plaisir de s'entretenir virtuellement.
Claudius
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