"Voilà un absolu qui m'étonne de Florence."
J'ai toujours considéré que la religion *organisée* avait joué un rôle bien plus néfaste que bénéfique. Je dois en oublier, bien sûr, mais je ne me souviens pas d'une société dont le clergé, à un moment ou un autre, n'ait servi de frein à un développement ou d'accélérateur aux pires sottises.
La phrase de Mencken est "the believing mind", "l'esprit croyant/crédule/voulant croire". Il s'adresse à quiconque s'accroche à une croyance "clairement" absurde (l'exemple type est un de mes proches, qui malgré des années passées à tomber de Charybde en Scylla, s'accroche à ses croyances théosophiques et rosicruciennes, tout en admettant que cela augmente ses tendances psychotiques et aggrave ses problèmes. Il ne lâche - temporairement - ces fadaises que pour se plonger dans les prophécies mayas ou la piramidiocie. Toutes les tentatives pour le faire réfléchir rationnellement ont échoué.)
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