"On a évalué le degré d'optimisme ou de pessimisme de 122 homees ayant eu une crise cardiaque. Huit ans plus tard, 21 des 25 plus pessimistes, contre seulement 6 des plus optimistes étaient décédés L'attitude mentale prédisait mieux la survie que les facteurs de risque strictement médicaux comme la gravité des lésions cardiaques, l'état des artêres, le taux de cholestérol et la tension. D'autres études de patients ayant subi un pontage ont montré que les plus optimistes se r?0tablissent plus vite et souffrent moins de complications. (Chris Peterson et al., Learned Helplessness: A Theory fo the Age of PersonalmControl, Oxford University Press, New York, 1993)
Une étude sur des sujets paralysés à la suite de blessures à la colonne vertébrale montre que ceux qui entretiennent le plus d'espérance retrouvent une plus grande mobilité physique que les autres atteints de lésions similaires. L'effet de l'espoir est particulièrement clair dans ce type de paralysie, car elle frappe généralement des hommes dans la fleur de l'age, et ce, de manière irréersible. Leur manière d'y réagir émotionnellement d?0termine le degré au quel ils seront capables de retrouver une certaine autnomie physique et sociale. (Timothy Elliott et al., Negotiating Reality After Physical Loss: Hope, Depression, and Disability" dans Journal of Personality and Social Psychology 61,4, 1991.
Voilà pour l'instant. J'en rajouterai si nécessaire.
Gilles C.
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