La formation que recoivent les psys ne les rend pas << malades >>. Disons plutôt qu`elle induit une clivage entre l`intellect et les émotions. Les connaissances apprises à l`université deviennent les seuls référents auquel le psychologue se fie pour juger de l`état de chacun de ses patients. C`est normal ; les émotions sont suspectes, et dès lors, les ressentir, devient pour le psychologue, impossible, comme se fier à son propre jugement.
De plus, à l`université, on cultive l`esprit de groupe, et on fait croire à chacun, comme dans une secte, qu`il fait partie de l`Élite. Les gens qui sont admis en psychologie proviennent souvent de familles dysfonctionnelles ; ils prendront d`autant plus volontier le Groupe comme deuxième famille, et le professeur, comme subtitut parental. Cela facilite d`autant plus leur adhésion intellectuelle aux doctrines enseignées,extremement déshumanisantes, et renforce le pouvoir du professeur sur eux. Les dissidents subissent la pression des autres pour adhérer à la doctrine << psy >>...
Autrement dit, ils subissent un lavage de cerveau.
Je ne pourrais pas comprendre autrement, comment une docteur en psychologie que je ne nommerai pas, pourrait dire à une de ses patientes qui s`était fait violer à l`adolescence par un homme plus âgé, qu`elle << n`était qu`une petite fille en colère contre son père >>...
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