Si l'accent québécois nuit à l'orthographe et à la syntaxe, abolissons-le. Traquons-le. Qu'on lui fasse mettre un genou en terre devant l'accent français de France, et même de Tours, pour être plus précis, puisque selon les linguistes il est le moins déviant. Tu ne paraîtra pas devant la Face de Ton Seigneur les mains pleines de fautes d'accord et de régionalismes troublants.