Les psychologues sont des névrosés bourrés de complexes d`infériorité qui voudraient tous devenir médecins, mais qui n`ont pas la moyenne scolaire pour, ni les capacités intellectuelles. Les cours à l`Université, où on parle des médicaments à donner, même si les psychologues n`en donnent pas(heureusement!), sont très populaires, à l`école de psychologie. Les effets des médicaments sont d`interrompre la pensée et de tuer toute douleur : il n`y a pas lieu pour un psychologue, puisque les effets des médicaments sont dits "positifs"(...), de s`inquiéter des répercutions pour la santé de la prise de neuroleptiques par les patients. Cette fonction est du ressort du médecin. Les psychiatres sont médecins, et nettement plus intelligents que les psychologues. Ils semblent, pour la plupart, nettement plus à même de se fier à leur << gros bon sang >> pour établir un diagnostic de santé ou de maladie mentale. Ce n`est pas le cas des psychologues, qui à cause de leurs complexes d`infériorité, disposent d`une capacité "d`accueil" des défauts de leur patients nettement moindres que celle des médecins, plus sûrs d`eux. Ce qui veut dire que les psychiatres ne dramatiseront pas autant les "défauts" de leurs patients que les psychologues le font. C`est là une chose importante, car les patients grossissent volontier leurs défauts, et on besoin du thérapeute pour leur redonner confiance en eux.