Le choix qu'offre Julien n'est même pas piégé, il s'agit de trois sophismes classiques: une attaque ad hominem (jouer l'homme plutôt que la balle), un faux dilemne (il compare des situations qui n'ont rien de semblable, soit une discussion fortuite avec un collègue au sujet de divergences de convictions versus une confrontation d'idées dans un espace dédié à précisément cela) et la création d'un épouvantail (il essaie de faire croire que le point d'achoppement est le ton des réponses, pas le fond). Il fait ça depuis le début avec tout le monde tout comme il essaie d'écarter du débat les personnes qui ont tendance à remettre le sujet là où il se trouve, à savoir qu'il n'a aucun argument positif en faveur de ses convictions personnelles (ou plutôt celles de sa maison-mère) et qu'il ne lui reste donc qu'à attaquer (les théories d')autrui.