J'ai déjà entendu Michel Chartrand aborder ce sujet. J'ai déjà lu que cette idée mijote depuis un certain nombre d'années dans les pays développés.
Je pense que c'est surtout une affaire de volonté politique. Je pense que même les entreprises ne seraient pas défavorables à un tel projet dans la mesure où elles n'auraient pas à supporter les frais de l'assurance chômage, des congés parentaux, etc... Le rôle des économistes serait de faire en sorte que la répartition des taxes et impôts, en tenant compte de ces nouveaux paramètres déterminés par les élus, ne grève pas le budjet de l'état et favorise le fonctionnement des institutions.
André
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