1) Quelqu'un qui n'est pas suffisament intelligent pour percé le mystère de la supercherie ("pas suffisament intelligent", ça veut pas dire "épais", ça veut juste dire "en manque de connaissances pour expliquer un phénomène ou un concept")
2) Quelqu'un qui par sa nature doit nourrir son besoin d'irrationnalité (qui serait intrinscèque; ce qui cause certains problèmes conceptuel*)
3) Quelqu'un atteint d'une maladie mentale
Les croyances irrationnelles semble être un symptôme qui se manisfeste de la même façon dans les trois cas. Je pense qu'on peut définir la santé mental comme étant "la capacité de faire la distinction entre une émotion et la raison" (Bill ?). Dans ce cas, la personne qui possède une croyance irrationnelle pour les raisons 1 et 2 sera en mesure de soit rejeter la croyance, soit la reconstruire lorsque cette dernière entre en contradiction avec des faits. La troisième aura tendance à interpréter les faits de façon à consolider la croyance, ou dans le pire des cas, refusera d'y croire. Refuser de croire aux faits, c'est assez pathologique merci. Il faut aussi faire attention de bien faire la distinction entre croyance irrationnelle et croyance rationnelle.
* Comment expliquer que certaines personnes ne nourissent pas ce besoin. À quoi sert cette "énergie" psychologique pour un "non-croyant" ? Est-ce ce besoin qui motive les chercheurs ? (couplé avec le désir de trouver la/une/des vérité(s) )
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