Tu sais tres bien que la fondation Cayce contient des tresors dans ses coffres.
Personne ne sais les exploiter, meme pas les gens de la fondation qui ne sont que des tire-poignon.
Il faut etudier la vie de Cayce dans les années 20 et meme dans sa tendrte enfance pour comprendre.Cela m'etonne beaucoup de toi qui t'interesse a la psychologie d'un Gatti alors que je n'ai rien du tout de paranormal a proposer a personne.Par contre Cayce c'est un specimen.Je te mettrai ici quelques unes de ses prouesses en texte.(LE recognita fonctionne à merveille)
Nous te retournerons comme une girouette!
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Re:Re:croyance et psychopathologie
Re: Re:... d'autre information... -- Sébastien
Posted by Bill , Mar 16,2002,07:20 Post Reply Forum
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Il faut procéder par élimination.
1) Le premier groupe est plus facile à identifier. Quelqu'un qui manque de connaissance, dévoile assez rapidement son ignorance. Par exemple, dans la discussion sur l'évolution, les personnes qui ne connaissaient pas les principes de base de la génétique et ceux qui nourrissaient des croyances Lamarckistes, ont vivent été identifié.
2) Le deuxième groupe est plus difficile à identifier. On les reconnaît, d'une part, parce qu'ils manifestent des distorsions cognitives: Inférence arbitraire; Attention sélective; Minimisation des indices contre leur conviction; Surestimation des indices en faveur de leur conviction. On les reconnaît, d'autre part, parce qu'ils nous indiquent qu'elle bénéfice psychologique ils tirent de leur croyance. Souvent, ils nous indiquent qu'elle est ce bénéfice psychologique à travers les reproches qu'ils nous adressent.
Par contre, contrairement à toi, je ne crois pas que le besoin soit spécifiquement un besoin d'irrationnelle. Le caractère irrationnel de la réponse à leur besoin est irrationnel accidentellement. Ça aurait pu tomber sur autre chose. Je ne crois pas non plus que les croyants se distinguent beaucoup des sceptiques à ce chapitre. Notre scepticisme répond lui aussi à des besoins psychologiques, peut-être même à des besoins très semblables à ceux des croyants.
3) Le troisième groupe est encore plus difficile à identifier. Il n'y a pas de frontière bien définie entre la santé et la maladie mentale. Les schizophrènes se comportent souvent de manière très normale et les personnes présumé en "bonne santé mentale" se comportent parfois de manière nettement pathologique.
On connaît plusieurs maladies mentales dont les symptômes principaux concernent une croyance en des choses qui n'ont pas de réalité. Par contre, comme ce genre de croyances est également très fréquent chez les personnes présumé en "bonne santé mentale", il ne s'agit pas d'un symptôme pathognomonique. En ce sens, ta définition de la santé mentale ne me semble pas juste.
Je crois cependant que tu as beaucoup plus raison de dire que de refuser de reconnaître l'existence d'un "fait" est un comportement très pathologique. En psychologique clinique on utilise le terme "déni" pour désigner ce comportement jugé très régressif.
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