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Lecture saine pour personnes serieuses (pas pour l'enculé)


Posted by GATTI , Mar 17,2002,13:06 Index  Forum


Origine inconnue.Les elements contenus dans ce document sont en rapport avec la mise en memoire d'informations tel que celles dont Cayce a la chance d'acceder.
Seuls les enfoirés comme ce salopard de JF REFUSENT LE DEBAT.

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Mémoire de la matière

La physique devient la paraphysique, la science vient au secours de la spiritualité, non seulement la Matière est «spirituelle » mais elle est intelligente, a un métabolisme, une mémoire. C'est actuellement le grand débat scientifique de notre fin de XX siècle et ses implications sont d'une importance majeure.
Si la mémoire de l'Eau a déchaîné les passions depuis « l'affaire » Benveniste, la mémoire de la matière est bien connue des physiciens. Nous allons évoquer tour tour les différents stades où la mémoire de la matière a été mise en évidence et où il a pu être attesté que la matière avait des aptitudes à emmagasiner puis à restituer les évènements. Emmagasiner l'information paraît être une fonction naturelle pour la matière, la restituer ne dépend que de nous. Il nous faut trouver les clés qui ouvrent les différentes portes.

La mémoire particulaire
La plupart des chercheurs actuels considérent que la matière possède un psychisme, un métabolisme, une intelligence, au point que Teilhard de Chardin écrivait le mot matière avec un « M » majuscule et que Charon parlait de Psycho-Matière. Alors, comment ne pas concevoir que cette matière « intelligente » n'ait pas aussi une mémoire, puisque les deux semblent indissolublement liés ? C'est ce que pensent de nombreux physiciens et Linssen n'hésite pas à affirmer que la psychomatière serait formée de particules ayant une mémoire qui a commencé à l'origine de l'univers.
C'est encore G. Russel qui avouait « ma propre expérience et celle d'autres personnes m'oblige à croire que la nature possède une mémoire et que cette mémoire nous est accessible »
Dans le domaine de la physique, de nombreux chercheurs ont déjà démontré qu'il existait bien une mémoire, particulaire et que l'univers et la matière ne seraient qu'une immense mémoire, que chaque cellule, chaque particule, serait dotée d'intelligence et de mémoire.
On considère aussi que la mémoire existe à partir du Vide, c'est-à-dire de rien. Après la matière, il n'y a rien, plus rien. Alors qu'est-ce que ce Rien ? Le Vide, mais un Vide considéré selon le point de vue de la théorie quantique et qui serait le contraire du Néant, c'est-à-dire, selon Prigogine, que « loin d'être passif ou inerte, il contient en puissance toutes les particules possibles » et probablement une Mémoire qui lui permettrait de garder des traces. Serait-il un amas de potentialités de vies, de formes, de forces et d'énergies, d'intelligence et de mémoire ?

La mémoire de la matière
Notre siècle est celui de l'ordinateur, un instrument créé et façonné par l'homme pour stocker et restistuer l'information mais surtout pour pallier les lacunes et les insuffisances de la mémoire humaine. Mais qu'on le veuille ou non, l'ordinateur et ses constituants ne sont que de la matière.
Les semi-conducteurs, bandes magnétiques, pellicules photo, microsillons, etc., ne sont encore que de la matière traitée pour stocker et restituer l'information. La technologie moderne s'est donc servie de quelques spécimens de matière pour capter, conserver et reproduire sons et images, en intervenant sur la structure des matériaux.
Or, on trouve toujours de nouveaux matériaux capables de telles performances. Alors, pourquoi pas tous les matériaux, si nous considérons que la matière, quelle que soit sa forme ou sa structure est douée de mémoire. Il ne nous reste plus qu'à la faire parler.
Les arbres ne nous offrent-ils pas un calendrier naturel et climatique d'une grande précision, au travers de leurs anneaux de croissance ? L'arbre est devenu pour les archéologues un outil précieux de datation mais rien ne nous dit qu'il a révélé tous ses secrets enfouis au plus profond de ses structures. Les cristaux eux-mêmes révèlent une mémoire prodigieuse. Le physicien français Patrick Drouot, spécialiste des cristaux affirme que les cristaux seraient des décodeurs permettant de travailler sur les corps subtils ; ils auraient la propriété de faire émerger des éléments de vie antérieure, inscrits dans le corps astral. Le physicien Marcel Vogel d'I.B.M. affirme de son côté‚ que les cristaux pourraient être un intermédiaire de choix pour contacter des mondes parallèles.
Les recherches du physicien Pahesi l'ont amené à conclure que certaines pierres précieuses (en particulier les diamants) étaient douées de mémoire et que la structure moléculaire des gemmes pourrait être affectée par les sons et les images à la manière d'un magnétoscope.
La cristallographie offre en effet des ouvertures intéressantes sur notre monde et sur les mondes parallèles. La voyance par la boule de cristal qui a fait s'esclaffer tant d'esprits cartésiens pourrait bien nous révéler un jour des surprises de taille.

Même les métaux.
En 1960, les labos de la Marine U.S. élaborent pour la première fois un alliage nickel-titane équiatomique nommé Nitinol. Quelques années plus tard on s'aperçoit que ce Nitinol est doué d'une extraordinaire mémoire.
Ductile et plastique, si on le chauffe au-delà d'une certaine température, il reprend exactement et de lui-même sa forme initiale, et autant de fois qu'on le souhaite. Mais le Nitinol n'a pas l'exclusivité de la mémorisation ; elle appartient en propre à d'autres alliages comme l'or-cadmium, le cuivre-zinc-alu, le cuivre-alu-nickel, etc., et l'on en trouvera encore certainement beaucoup d'autres.
Si cette curieuse propriété des métaux est maintenant bien connue et a été admise des milieux scientifiques, elle n'est cependant considérée que comme une « mémoire de forme ». Les alliages ne changent qu'avec la température (haute ou basse) et n'offrent que deux mémoires. Cependant, s'il est reconnu que les métaux sont porteurs de mémoire, il est bien connu aussi que c'est à nous qu'incombe le soin de la faire parler. Alors on peut se poser la question de savoir si on a tiré des métaux ou de leur structure moléculaire tout ce qu'ils avaient à nous révéler, si d'autres techniques nous permettront d'en tirer quelque chose de plus.
Un morceau de verre n'est qu'un banal amalgame de carbonate de potassium, de silice et de chaux ; façonné depuis des millénaires, il est devenu quelque chose de si banal qu'on ne lui prête plus aucune attention particulière.
Jusqu'au jour où Vladimir Ovhanski effectua des travaux sur cette matière qu'il trouvait curieuse. Les résultats furent étonnants : « Le verre avait toutes les propriétés des transistors et davantage encore ; il pouvait détecter, amplifier et moduler les ondes de TSF » dès qu'on le traitait par l'Ovionique, une technique révolutionnaire et d'une grande simplicité mise au point par Ovhanski. Ainsi, cette technique permet au moyen d'un simple carreau, d'une bouteille ou d'un verre, d'enregistrer tout ce qui se dit et de le retransmettre ensuite.
Les applications d'un tel procédé sont énormes et pourtant l'industrie s'y intéresse assez peu ; il y a probablement une histoire d'argent là-dessous. C'est dommage et les espoirs que Bergier mettait en ce procédé s'envolent en fumée. « Nous allons, disait-il, disposer d'un moyen d'exploration du passé aussi inespéré qu'inattendu ». Les verres et les miroirs datant de siècles et de millénaires auraient pu, par ce procédé, parler de choses peut- être étonnantes et nous restituer les voix des personnages célèbres.
Il faudra donc revenir sur cette idée que « les paroles s'envolent et seuls les écrits restent ». Si le verre a enregistré et peut restituer fidèlement, pourquoi ne pas l'utiliser... Interroger la boule de cristal ou interroger son miroir pourrait devenir un passe-temps agréable et donner des résultats inattendus, surtout si le miroir est ancien... Allant plus loin encore, certains scientifiques comme J. Berry et Le Barcus démontrèrent qu'en excitant le verre d'une certaine manière « le verre à vitre le plus banal pouvait parler et jouer de la musique ».

les murs ont des oreilles...
Si le verre aussi bien que la matière peuvent s'imprégner des paroles voire des grandes émotions des gens, les murs des maisons dites « hantées » pourraient alors parler lorsque certaines conditions font que des personnes peuvent entrer sans le savoir en résonance avec la matière « être sur la même longueur d'onde » comme l'on dit et déclencher par là-même la mémoire de la matière fortement imprégnée.
Cette idée fut émise par le Docteur Fodor puis par d'autres ; elle n'est sans doute pas aussi farfelue qu'elle le paraît et pourrait apporter une solution au problème des maisons hantées. Cela rejoindrait l'hypothèse de W. Roll qui, en 1959, émit l'idée que les objets eux-mêmes possédaient des propriétés Psi.
Bien entendu, si la matière, vivante ou inerte, a une mémoire et qu'elle a stocké depuis des jours, des siècles, des millénaires, des informations, comment résister au désir de la faire parler ?
La psychométrie est devenue depuis peu une véritable science à laquelle les parapsychologues et chercheurs divers ont donné ses premières lettres de noblesse. C'est au Docteur Buchanan que l'on doit le terme de Psychométrie, autrement dit l'art et la manière de « faire parler la matière ».
Dans le domaine très particulier de cette science, les travaux de Buchanan peuvent être considérés comme ceux d'un pionnier et ses théories sont à la base même de cette discipline. Un autre chercheur, Denton, affina et compléta ces travaux. Pour eux, il ne fait aucun doute, la matière, vivante ou inerte, est psychiquement « imprégnée ». Cette idée qui parut saugrenue à l'époque, paraît pourtant se confirmer par des résultats patents. Démocrite qui avait jadis entrevu cette possibilité trouve à notre époque de dignes successeurs qui cherchent inlassablement dans cette voie.

Les voix de l'Histoire
L'homme a soif de connaître son avenir mais aussi son passé. Historiens et archéologues fouillent obstinément les archives et le sol pour savoir ce que le puits profond de notre mystérieux passé peut nous révéler. Ils ne craignent pas, à l'occasion, d'utiliser des médiums pour y parvenir.
Le jeune archéologue Goodman utilisa avec profit les dons psychiques d'Abrahamson qui lui révéla des choses ahurissantes sur le passé lointain de l'Amérique et l'origine de son peuplement, indiquant l'emplacement des sites. Sur vingt-trois prédictions, dix-huit furent exactes.
En 1907, les dons psychiques de Bartlett lui firent découvrir les ruines de Glastonburry. Pluznikov découvrit par ses dons les ruines du palais de Boris Godounov.
En 73, le célèbre anthropologue Emerson révèle aux scientifiques éberlués que la plupart des sites qu'il avait découverts lui avaient été indiqués par le psychique Mac Mullen. Ainsi les « psychiques » ont des facultés qui leur permettent d'interroger la matière, en l'occurrence la terre et les vestiges divers qu'elle recèle. La matière vivante ou inerte arrive à parler lorsque l'on sait l'interroger et peut livrer des secrets qui ne pourraient être connus autrement.
La matière semble donc être un merveilleux livre d'histoires, à nous de savoir le lire. Verre, métal, cristal, diamant et autres supports recèlent sans doute bien des secrets.
Cette chose si banale et si peu connue qu'est l'Eau (H2 O) recèle sans doute des mystères plus grands encore qui touchent à la formation de la vie et de l'Univers.
On conçoit que, le jour où Benveniste a timidement dit « y a peut-être une mémoire de l'eau » le monde scientifique ait été complètement ébranlé et que les passions aient été déchaînées dans le monde entier.




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