Tu dis: "Le fait qu'on ne soit pas capable de se rappeler toutes choses dans les moindres détails n'empêche pas le possibilité qu'il y ait une mémoire parfaite ailleurs que dans le cerveau."
La question est de savoir si on a besoin de cette hypothèse.
Tiens, je vais reformuler ta proposition: Le fait que (n'importe quoi) n'empêche pas la possibilité que notre espace soit continuellement traversé par des dragons verts à pois rouges, déphasés et imperceptibles.
On n'a pas besoin de cette hypothèse, tout simplement.
Cordialités,
Denis
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