Eh bien moi je te répondis-je que c'est plutôt ta connerie qui est à géométrie variable si on considère le fait qu'après avoir dégoisé un max d'inepties sur les 300 tonnes du B-757, tu entames une prudente manoeuvre de repli vers d'autres pseudo-arguments.
Envergure du B-757-200 = 124 ft 10 in (38.05 m)
http://www.boeing.com/commercial/757-200/product.html
Pas étonnant qu'on ne les retrouve plus intactes les ailes, puisqu'elles ont embouti l'édifice sur une largeur suffisante pour s'y faire démantibuler lors de l'impact. Lors de l'incendie subséquent, une chaleur telle (du moins au WTC) qu'elle a fait fondre les piliers en acier des étages où avait eu lieu l'impact. Que dire alors des alliages en Duralumin utilisés dans la construction de ces avions. Ils ont fondu tout simplement. Ceci n'exclut nullement que des articles divers aient pu échapper, de façon aléatoire, à cet enfer. La destruction occasionnée par un incendie n'est pas un processus parfaitement homogène.
[...et quand on pense qu'un apprenti pilote de mono-moteur...]
Inutile d'essayer de se faire admettre à des cours de pilotage sur multi-moteurs si l'on n'a pas d'abord un permis de pilote privé sur monomoulin. Les prérequis existent.
Voir à ce sujet:
http://www.fit.edu/AcadRes/aero/new-aero/avf.html#4001
Ajoutons que des débris de l'avion ont bel et bien été retrouvés sur le site de l'impact au pentagone. Les boîtes noires également.
Référence boîtes noires:
http://www.pbs.org/newshour/updates/september01/wash_9-14.html
http://www.canoe.ca/CNEWSAttack010914/14_blackbox-ap.html
L'atterrissage une phase délicate ? Oui certes mais il n'est pas ici question d'atterrissage. Tout simplement d'une orientation de l'appareil dans une certaine direction avec une vitesse susceptible de causer un maximum de dégats lors de l'impact. Rien à voir donc avec la vitesse de sustentation minimale requise en phase finale d'approche lors d'un atterrissage.
Contrairement aux kamikazes, il s'agissait ici d'une cible fixe (le pentagone ne se déplace pas souvent) et le pilote n'était pas soumis à un barrage de feu de la part de l'ennemi.
Quant à la question du rez-de-chaussée du bâtiment, là encore tu nous donnes la pleine mesure de ton intellect. Le pilote aurait-il logé le zinc au 2ème, au 3ème, ou au 4ème balcon que ça n'aurait pas changé grand-chose au résultat final. Une hauteur maximale de 12cm n'était certes pas nécessaire au succès de l'opération. Alors ?????
Identification des victimes du vol 77
http://www.armymedicine.army.mil/armymed/news/releases/afip.htm