Il y a longtemps que ce phénomène est considéré dans la recherche. JAMA a publié une revue des recherches sur la question il y a quelques années. L'intérêt est là, mais il est limité. La raison est que les effets thérapeutiques des placebos se limitent généralement à des problèmes de santé mineurs et subjectifs (trouble du sommeil, douleur, irruptions cutanées, angoisse, réaction immunitaire). Dans le cas des graves maladies (cancer, maladie de cœur, schizophrénie), l'effet placebo est très limité et parfois même inexistant.
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