recours aux médecines douces par adultes entre 1986 et 1991 : 14,1%
Femmes : 17 %
Hommes : 11 %
CONCUSION DES AUTEURS
(...) Des gens de toutes caractéristiques consultent en médecine douces, mais ces pratiques attirent plus particulièrement les femmes de langue française, d'âge moyen, possédant une scolarité et un revenu familiale élevés, ayant des enfants, résidant à l'extérieur des deux grands centres urbains et possédant une assurance-maladie privé, donc ayant les moyen de s'offrir ce genre de services. (...)