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Re:Prédiction pour 2002-2003


Re: Prédiction pour 2002-2003 -- *
Posté par Jean-Francois , May 13,2002,12:15 Index  Forum

Difficile de dire que le rêve est prémonitoire avant qu'il ne se soit réalisé ;-)

Pour les calculs statistiques, je ne sais pas. Faudrait que Denis se manifeste. Par contre, il faut préciser que si vous voulez postuler pour le défi sceptique, c'est à l'Association des Sceptiques du Québec qu'il faut s'adresser (coordonnées sur https://www.sceptiques.qc.ca ). Un message sur le forum ne suffit pas, à mon avis.

Par curiosité, que voulez-vous dire par "jamais retrouvés"? Il me semble que les 13 se trouve à Chypre en attendant d'être "éventés" dans l'UE (voir article ci-dessous).

Jean-François

Tiré de La Presse, le 13/05/2002 ( http://www.cyberpresse.ca/reseau/monde/0205/mon_102050097762.html ):
"Six pays de l'UE accueilleront les militants palestiniens
Associated Press, Bruxelles
Les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne se sont mis d'accord lundi à Bruxelles pour accueillir les 13 militants palestiniens expulsés d'Israel dans le cadre de l'accord sur la levée du siège de la basilique de la Nativité. Mais la question de leur statut sur le sol européen n'a pas encore été résolue. Les derniers Palestiniens assiégés avaient quitté l'église vendredi dernier après 39 jours de siège par l'armée israélienne à Bethléem (Cisjordanie). Selon l'accord conclu sous l'égide de l'UE, ces 13 hommes -impliqués selon l'État hébreu dans des actes de terrorisme- ont été transférés à Chypre en prélude à une dispersion dans divers pays d'accueil en Europe.

Douze d'entre eux, décrits par l'UE comme des hommes libres, et non pas des détenus, ont été installés temporairement à Chypre dans un hôtel de bord de mer près de Larnaca, alors qu'un treizième, atteint d'une fracture à la jambe, est soigné à l'hôpital. Lundi, l'Italie, l'Espagne, la Grèce, l'Irlande, le Portugal et la Belgique se sont donc portés volontaires pour accueillir ces hommes bannis par l'État hébreu.

La porte-parole européenne Anna Rodriguez a précisé que la ventilation de ces militants par pays n'avait pas encore été faite. «Une fois que nous aurons trouvé ne solution (...), ils pourront quitter Chypre», a-t-elle dit.

Mais la question de leur statut juridique n'a pas été résolue. Cristina Gallach, porte-parole du haut responsable de la politique étrangère de l'UE Javier Solana, a reconnu que les Quinze se trouvaient dans une «situation particulière» étant donné que ces hommes considérés comme des terroristes n'avaient commis aucun délit dans l'UE.

«Il revient aux pays membres qui ont accepté de les accueillir de régler les particularités de cette situation», a-t-elle dit à la presse. La Grèce pense notamment que les pays hôtes doivent garantir leur sécurité. «Les principes fondamentaux qui sont les nôtres sont clairs: ces gens doivent se sentir en sécurité», avait notamment souligné Christos Protopappas, porte-parole du gouvernement grec.

Vendredi dernier encore, le président du Conseil italien Silvio Berlusconi avait résumé l'embarras des Quinze en déclarant: «Nous ne pouvons pas envisager de les placer en détention», tout en expliquant que son pays ne pourrait leur accorder l'asile «étant donné le passé de ces personnages».

De passage à Rome ce week-end, le ministre israélien des Affaires étrangères Shimon Pérès avait exhorté l'UE à garder un oeil sur eux. «Nous espérons que les pays qui les accueilleront prendront toutes les mesures nécessaires afin que (les militants) ne provoquent pas de troubles ou fassent du mal», avait-il averti."


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