Et que Daniel soit mille fois plus attendrissant sur le plan humain que Uri Geller et que ses spectacles soient plus intimistes n'y change rien: il ment et berne des gens sur une chose fondamentale, la réalité.
Et malgré l'empathie que je peux avoir pour Daniel, je ne peux accepter que la réalité en tant que bien collectif et la compréhension qu'on en a, soit bafouée: elle est trop précieuse, et par les temps qui courent, trop malmenée.