Votre théorie diluvienne est en totale contradiction avec les documents fossiles. Elle est en contradiction avec la stricte ordonnance verticale des fossiles observée partout dans le monde et je ne vois pas en quoi l'existence du Coelacanthe la met en accord avec ces documents.
Vous expliquez cette ordonnance par la taille des sédiments qui se déposent. Comme on vous l'a déjà mentionné, ça ne tient pas la route. À plusieurs endroits, on observe des successions de dépôts fins recouverts de dépôts grossiers puis à nouveau des dépôts fins, etc. Les strates géologiques ne peuvent pas s'expliquer par un dépôt catastrophique sur une courte période, elles contredisent totalement ce scénario. On retrouve par endroit des couches de lave volcanique refroidie entre des couches de sédiments. Ces laves ne peuvent pas s'être formées sous l'eau (elles auraient alors un tout autre aspect). On retrouve par endroit des empreintes de pas de dinosaures. Ces empreintes ne peuvent pas s'être formées alors que des raz-de-marée déposaient d'un coup des millions de tonnes de sédiments humides. Je vous avais apporté il y a quelques mois plusieurs autres arguments, vous n'aviez pas répondu. Vous en trouverez de nombreux autres sur ce site:
http://www.geocities.com/Tokyo/Temple/9917/flood.html
Et comment expliquez-vous les falaises de Douvre?
Vous l'expliquez aussi par la façon dont les animaux ont échappé au déluge. Ça tient encore moins la route. Comment expliquez-vous que même les pollens soient strictement ordonnés dans les couches géologiques. On ne retrouve pas de pollen du carbonifère dans les strates du jurassique et pas de pollen du jurassique dans les strates du cénozoïque. Partout dans le monde,les pollens associés au carbonifère sont en dessous de ceux associés au cénozoïque. Pourquoi? Les pollens du cénozoïque nageaient-ils mieux que ceux du carbonifère? Et ce qui vaut pour les pollens, vaut pour tous les autres fossiles. Votre hypothèse ne tient pas la route, pas du tout.
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