ÉVARISTE :
Je ne sais pas s'il a rason, mais un de mes amis a travaillé à la baie James et il m'a dit que, quand il y travaillait, les motoneiges étaient laissées laissées à l'abandon (et s'amoncellaient) pour la simple raison qu'il suffisait à un Cri d'en demander une nouvelle et hop ! monsieur était servi.
Je ne sais pas si c'est encore le cas de nos jours (ni si cela l'a déjà été réellement).
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