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le royaume des cieux......


Re: De notre correspondant marseillais -- REUTERS
Posté par Gatti , Aug 03,2002,06:28 Index  Forum

ANNEXE 2 non jointe a la communication officielle

Les outils mathématiques pour forger le paranormal arrivent


Avec les travaux mathématiques de la théorie quantique de l'information d'Anton ZEILINGER, les faits paranormaux qui étaient complètement inacceptables pour les scientifiques jusqu'à présent pourraient devenir "négociable" avec des physiciens spécialistes en MQ. Ceci dans le mesure où ils seraient assez ouvert pour prendre connaissance des éléments concordants que nous soumettons ici a leur intransigeance légendaire .
Nous assistons en ce moment a une évolution importante de la physique quantique ; même si celle-ci n'est pas encore admise comme transposable au macroscopique le débat entre chercheurs officiels et CASAR , (pseudo-chercheurs marginaux ) pourrait tout de même avoir lieu car nos apportons des éléments concordants et pas mal de témoins de première main qu'on ne pourra pas indéfiniment prendre pour des imbéciles .
Depuis des années, casar attendait avec impatience l'arrivée d'éléments concordants entre physique et "parapphysique" c'est bien cela que veulent dire les physiciens quand ils déclarent :"La physique quantique est une métaphysique"
Nous sommes enfin au cœur de la concordance des sciences avec les parasciences
Les travaux de ZEILINGER concernant le quantique mésoscopique sont une avancée fabuleuse qui concerne AUSSI la physique quantique macroscopique . Si nous comparons nos dossiers avec les points soulevés par AZ le doute n'est plus permis.
POINT N°1 "La quantité totale d'informations disponible est toujours limitée et invariante en l'absence de nouvelles observations"
POINT N°2 "Moyennant une ADAPTATION de la formule de SHANON (utilisée classiquement) les physiciens autrichiens ont reconstruit certaines structures mathématiques desquelles ils espèrent déduire bientôt A PARTIR DE LA SEULE NOTION D'INFORMATION les notions de MATIERE, ENERGIE, ESPACE et TEMPS
POINT N°3 : "Les phénomènes quantiques changent d'état quand ils sont observés"
POINT N°4 :"L'irréductible caractère aléatoire lié aux mesures quantiques vient simplement du fait qu'un système ne contient pas assez d'information pour pouvoir donner une réponse déterminée"
Ici les physiciens du quantique admettent sans ambiguïté l'extrême fragilité des objets matériel dont la stabilité ne tiendrait qu'a un fil extrêmement fragile représenté par une seule information qui circulerait entre le milieu ambiant et le système. Les psychologues qui auront en charge l'étude du dossier Pantel n'auront pas de mal a démontrer les curieuses similitudes entre le psychisme de JCP et la circulation pour le moins insolite d'informations (point n°3) qui semblent perturber des systèmes macroscopiques au point de les faire changer d'état.
Les questions de perturbations temporelles (point n°2) qui sont en passe d'être démontrés par la théorie de l'information de Zeilinger se posaient avec l'affaire HUBERT.htm (les témoignages concernant l'étau qui se retrouve fermé nous avaient interpellé) Il est évident que lors des disparitions spontanées ou lors de certaines psychokinèses, les anomalies temporelles ne se manifestent pas systématiquement car le phénomène n'arrive pas forcement a terme a chaque fois. Nous avons maintenant plusieurs témoins crédibles qui sont a la disposition des physiciens suspicieux car ce ne sont pas des historiettes anciennes. Il suffirait de les interroger pour mettre tout le monde d'accord. La teleportation de Pantel devant témoins décrite ci-dessous ne laisse plus de place au doute (vu le nombre et la qualité des témoins) sur la question de la mort d'une vielle dame sur le parvis de de Notre-Dame de La Garde, l'information était bien connues des amis de JCP deux jour avant la mort de cette dame .Ceci est vérifiable car l'adresse de ces gens qui étaient présent lors des faits peut être retrouvée facilement ;alors messieurs les sceptiques rétrogrades enquêtez , sinon taisez vous et restez dans votre ignorance coupable de manquement a la déontologie scientifique.
La similitude entre la teleportation de JCP à Notre Dame de la garde et les teleportations de Yvonne aimée de Malestroit est grande.Il est intéressant de noter que dans beaucoup de cas des émotions fortes sont en relation avec le phénomène. Le cas du sergent Péres au chapitre 8 de notre premier manuscrit va aussi dans ce sens: chap8.htm

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DOCUMENTATION extraite de "les visiteurs de l'espace-temps" (tome 1) de Jean-Claude PANTEL page 248/236
.Nous avons été invités par les Gardonne et nous nous trouvons, Noëlle, son mari, Lucette, André et moi, attablés dans la salle à manger, causant de tout ce qui a pu survenir de novateur ces derniers temps. Tout à l'heure en arrivant, sans doute pour nous faire savoir que nous n'étions pas "seuls", les lampes éclairant le palier de l'étage où demeurent nos amis ont explosé et quelques objets ont percuté, sans les briser, les fenêtres de la
pièce où nous nous tenons. Ensuite, tout souvenir précis de ce que je fais dans l'appartement s'estompe et si je me revois bien me lever de table pour aller dans la cuisine, c'est sur le parvis de Notre-Dame de La Garde que je me retrouve sans que je sois capable d'expliquer, à ce jour, comment j'y suis parvenu ! Bien sûr, il ne peut s'agir que d'un transfert effectué à mon insu, d'une de ces téléportations dans un continuum spatio-temporel, ces fameux "vortex" en lesquels j'ai déjà pu faire quelques incursions mais de façon consciente, vraisemblablement parce que j'étais accompagné pour ces circonstances par les membres de l'Organisation Magnifique. Toujours est-il que je suis là, à l'extérieur des grilles closes, au pied de cette splendide cathédrale qui coiffe Marseille, alors que le jour hésite à disparaître derrière la ligne d'horizon, s'attardant entre ciel et mer dans les derniers rayons d'un soleil au nadir qui ne rougeoie plus qu'à travers des vapeurs s'élevant vers les premières étoiles. A ce moment, je perçois distinctement une présence : machinalement, je me retourne et je vois, de l'autre côté du portail, une dame d'un certain âge venir à ma rencontre. S'agit-il d'une personne qui, toute
à sa dévotion, a prié si longtemps qu'elle n'a pas pris garde à l'heure de fermeture et qui, du fait, se retrouve là momentanément prisonnière de l'enceinte du Lieu Saint ? Je n'ai pas le loi sir de le lui demander, je la vois s'agripper aux grilles, non comme on le ferait pour les ouvrir, mais pour y chercher un appui. J'assiste impuissant à son affaissement contre le portail et puis, aussi soudainement que j'étais parvenu sur ces lieux, je me retrouve chez nos amis où tout le monde commençait à me chercher.
Quel laps de temps s'est écoulé depuis mon départ ?
Leurs dires s'accordent à considérer mon absence comme étant inférieure à dix minutes. Je leur relate les faits spontanément et nous partons sur-le-champ sur le lieu de l'incident : le trajet aller nous prendra à peu près le temps pendant lequel je n'ai plus été parmi eux, le retour, tout en descente, s'effectuera un peu plus rapidement. Mais le plus fantastique restait à venir. Si la vieille dame avait bel et bien disparu lorsque nous réitérames
mon voyage, nous apprîmes dans les journaux, trois jours après, qu'une septuagénaire était décédée devant le portail de Notre-Dame de la Garde en fin d'après-midi à la suite d'une crise cardiaque : l'accident s'était produit deux jours après que j'eus assisté à cette anticipation des faits, dans le même lieu mais aussi dans un autre Temps !
Page 240
C'est après une autre téléportation, dont le dénouement
se révéla beaucoup moins tragique, que Jean-Claude Dakis se risqua enfin à poser la question qui, depuis des années, brûlait les lèvres de tous ceux qui, de près ou de loin, avaient suivi le cheminement de toute cette invraisemblable affaire, à laquelle néanmoins, il faut bien l'avouer, nous nous étions, à des degrés divers, tout à fait adaptés. Nous sommes donc chez Dakis, au 40 rue Taddeï, à quelques cinq kilomètres de la rue Pierre Laurent. Notre ami, pour qui l'art culinaire n'a aucun secret, a confection né plusieurs plats d'origine antillaise que nous nous apprêtons à transporter chez nous, dans la voiture de Yoann Chris. Chacun descend l'escalier tenant une casserole en main et j'ai hérité pour ma part, d'une Cocotte-Minute plus encombrante que réellement lourde. Arrivés au bas de l'immeuble nous nous apprêtons à monter dans notre véhicule rangé juste en face de l'entrée. Je me revois très bien m'incliner, avec mon récipient, pour prendre place sur la banquette arrière où Lucette, la maman de Dakis et sa chienne Tanit sont déjà installées. Là encore, en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, je me volatilise au vu et au su de mes amis qui ont très bien compris ce qui se passait. Ma reprise de contact avec l'environnement réel s'opère à environ deux kilomètres de là où, mon récipient à la main, je me sens bien emprunté, ne sachant pas bien quelle décision prendre, me trouvant à peu près à égale distance d'où je viens, d'où je vais.
Je hèle alors un taxi dont le chauffeur, dans un premier temps, accepte de me prendre et qui soudain, alors que je pénètre dans son véhicule, me somme d'en descendre l'air totalement affolé.
Bien sûr, je m'exécute devant ce mouvement de panique, comprenant que la situation ne dépend plus de nous, tandis qu'au moment précis où je referme la portière la Volkswagen de Yoann Chris fait halte à mes côtés. Le chauffeur, démarrant alors sur des chapeaux de roue, lance son taxi vers une ruelle,
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Extrait de lettre de Bernrd Bidault Avril 2001
"En ce qui concerne la "decoherence"( disparition par dématérialisation)d'objets de petite taille, quand vous voyez un enfant de 12ans être subitement aspiré dans un souffle et disparaître par l'ouverture d'un soupirail (10centimetres d'ouverture o— on ne peut passer que la main),que seules les sandalettes du gosse restent par terre sous le soupirail.
Qu'une demie heure après la police téléphone qu'elle a retrouvé l'enfant en pleurs, marchant nu pieds sur le bord de l'autoroute … cinquante kilomètres de là. Quand l'enfant dit qu'il habite chez Monsieur Pantel à Auriol et qu'il ne sait pas pourquoi il est sur cette autoroute, imaginez la tête des flics !Mais comme tous les témoignages dans la région passent par la gendarmerie d'Auriol très au courant du dossier, il n'y a jamais de suites ! Dans ce cas je me demande ce que penseraient vos physiciens."
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Extrait de mail de Bernard Bidault
Lors d'une visite de JCP chez Bernard Bidault en juin 2002
"Et ça continue , je parle avec JC assis dans un fauteuil, je le vois se volatiliser devant moi. Plus rien? Je l'appelle , je cherche dans la maison, dans le jardin? RIEN . Mon chat est terrorisé. J'ai l'impression que j'ai une pile électrique dans le corps, je ne suis plus le même, je suis enveloppé d'une charge émotionnelle incroyable, j'ai les larmes aux yeux ( ce n'est pas mon genre) Je suis persuadé que JC ne va pas revenir . Au bout d'une heure, je vois mon Jean Claude TRAVERSER la porte d'entrée , il est blanc, il a les mains gelés, il me dit qu'il est fatigué du voyage, qu'il ne sait pas d'où il vient . Je le fais asseoir, je vais lui chercher un verre d'eau, je reviens ; plus personne. Ca recommence, j'ai moins peur, je l'appelle , je cherche partout. A u bout d'un quart d'heure je me dirige vers ma porte de chambre, ... et je tombe nez à nez avec JC qui arrive de cette pièce ... bien sûr en traversant la porte" .