Une transfusion n'est pas à proprement parler une absorption de sang. La "loi de Dieu" serait donc à revoir. (Remarquez, si Dieu causait pour qu'on le comprenne, il n'y aurait pas de problème... Seulement, cet omnipotent n'omnipotente pas fort.) De plus, les transfusions sont une invention bien trop moderne pour avoir été envisagées dans l'antiquité (on préfèrait les saignées en terme "d'usage médical" du sang).
Bref, rien ne se défend trop fort dans cette interdiction: ni la formulation, ni la justification...
Jean-François