Il y a notamment chez certains une tendance à nier à priori la possibilité d'existence des phénomènes paranormaux. Je suis toujours gêné quand on m'affirme qu'une chose est impossible. Je préfère évaluer les probabilités. La plupart des phénomènes paranormaux me paraissent très improbables.
Je pense que de toute façon c'est la position de la plupart des sceptiques, mais dans les discussions polémiques les mots dépassent souvent les pensées et peuvent donner l'impression que beaucoup de sceptiques nient à priori. Ceci a une conséquence déplorable : un des défauts des croyants est de penser que tous les sceptiques nient toujours à priori tous les phénomènes paranormaux.
Un autre élément qui empêche la discussion est la lassitude ou la paresse. Bien souvent on refuse de discuter avec quelqu'un de faits dont nous avons déjà discuté en vain avec d'autres croyants qui nous sortaient les mêmes arguments à nos yeux non recevables.
Il y en a sans doute d'autres.