Charles, vous dîtes : " Mon questionnement suppose qu'il existe "
C'est bien là le problème. Si nous partons de prémisses fausses ou du moins incertaines, il est impossible de construire un raisonnement logique.
Je pense qu'il faudrait plutôt retourner le problème en partant du "silence de Dieu". Que peut-on en conclure ? N'est-il pas assez logique de dire que si une chose ne peut être appréhendée par nos sens, c'est peut-être, tout simplement, parce qu'elle n'existe pas ?
Michel.