C’est Elisabeth Kübler-Ross qui a permis la remise en cause de la façon dont nous considérions le malade en fin de vie.
EKR n’est que la tête de l’iceberg.
Voici quelques références. Vous ne trouverez évidemment aucun sceptique froid parmis ces auteurs. Alors les lirez-vous ?
Pesach Krauss, Why me ? New York: Bantam 1988
EKR, Vivre avec la mort et les mourants du Rocher 1990
Stephen Levine, Qui meurt ? Souffle d’Or 1991
Stanislav Gross, Michael Sabom, Doris Lund, Marie de Hennezel, Christine longaker, David Lorimer, Melvin Morse Cecily Saunders, Sogyal Rimpoche, Bernie S. Siegel …
Excusez-moi si je ne continue pas à énumérer tous ces gens qui vous disent que « la mort est un nouveau soleil » et qui passent leur temps à redonner espoir à toute l’humanité tout en essayant, au quotidien pour certains, de faciliter le passage à des milliers de gens vers ailleurs.
Je vous fiche mon billet que, arrivé en fin de vie, vous serrez vachement content de trouver un zozo qui aura lu tous ces ouvrages.
La vision de la mort en milieu hospitalier était restée, jusqu’à ces dernières années, dictée par l’approche scientiste héritée du dix-neuvième siècle. Ajoutez à cela une imagerie chrétienne démotivante et morbide ou le remord trouve une place de choix et vous aurez comme résultat toute une série de mouroirs où je vous prie de croire que votre scepticisme ne trouve plus de place, malgré quelques réflexions de façade.
L’approche neurologique ne tient pas compte des récits des experiencers qui nous disent que, non seulement ils pouvaient se voir (l’autoscopie a déjà été discutée dans les années 80 et ne rend pas compte du phénomène) ; mais qu’ils pouvaient voir d’autres pièces de l’hôpital, voir leurs parents et écouter leurs propos. Tout cela avec corrélation.
Les aveugles (non de naissance) ont également décris tous ces phénomènes, impressions visuelles comprises.
Comme dans le cas des ovnis, il y a une masse de données à intégrer avant d’émettre le moindre avis.
Allez-vous faire cette étude ?
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