Hors digression, il me semblerait plus à propos de parler d'éthique plutôt que de morale pour des non croyants, de même que de "bon et mauvais" plutôt que de "bien et mal", celà dans le soucis d'éviter les notions d'absolu dont le non croyant n'a, par définition, que faire (c'est mon coté incroyant amoraliste qui me fait émettre cette distinction).