Toujours votre manière de prendre les problèmes à l'envers quand ça vous convient. Vous partez de l'observation quand vous croyez me ridiculiser, mais vous refusez de faire la même chose quand cela risque de nuire à votre pet-théorie.
Je vous signale que les biostatistiques ne sont pas de pures statistiques théoriques. Le plus délicat dans ces problèmes est de faire adhérer les calculs à la réalité. Pour cela, il faut justifier sérieusement autant les données que les méthodes d'analyse. Et, vous en êtes parfaitement incapable dans le cas des mutations; vous en restez à une affirmation qui à l'air sérieuse (et impressionnante) mais qui ne l'est que superficiellement. Même si vous êtes très bon en calcul théorique, vous n'avez pas la base pour l'adapter à la pratique de la recherche.
Jean-François
* Souvenez-vous des membres postérieurs chez les serpents. Une mutation (entre autres) a entraînée la perte des pattes, mais les serpents survivent très bien.
P.S.: je ne peux pas prouver l'impossible. Vos calculs sont détaillés où? Où puis-je trouver la liste de vos hypothèses? Dont une, plus particulièrement, par quel miracle êtes-vous venu à déterminer qu'il ne pouvais y avoir "qu'une séquence utile codant pour une nouvelle fonction"? Dieu vous l'a dit? Théoriquement c'est formel? Mais non, Julien, vous savez autant que moi que tout ça ne correspond strictement à rien que des caclculs dans le vide.