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Analyse de la réponse de quelqu'un qui tord (peut être)


Posté par Le fugitif , Feb 03,2003,05:26 Index  Forum

Cela n’est qu’une hypothèse :

---En général quand on sait que l'on a tord, et que son adversaire à raison, on essaye de détourner le problème, et d'emmener le débat ailleurs---
Pour se faire, en générale :


-on critique ou on insulte la ou les personnes adverses (moi en l’occurrence), par des arguments, qui ont peu ou pas de rapport avec le sujet principal abordé. Ainsi, les adversaires devront se justifier des critiques qu’on leur a fait (Le monde à l’envers !).
«...homme de l'ombre, qui n'a même pas le courage de dévoiler son identité. »
« A ce propos, je suis surpris qu'un certain "sphinx" qui voulait connaître mon histoire (je suis d'accord à condition qu'il me donne son adresse, ainsi que son véritable nom) adepte de la TCI, adhère à 100% à cette analyse. »
« Quant à ce "fugitif" qui fuit sans cesse après avoir massacré les autres avec de biens piètres arguments, que fait-il dans la vie ? Aura-t-il le courage de le dire et de dévoiler son identité afin que j'établisse un contact direct avec lui ?
Avant de traiter les autres de marchands, ou de manipulateurs de l'esprit humain, qu'il balaye devant sa porte et se regarde bien dans son miroir. Ce sera très révélateur, j'en suis sûr!! »


-on fait de la mauvaise fois :
-en prenant pour base à notre construction argumentative de faux exemples, ou bien alors, en grossir certains, et en atténuant d’autres, ou carrément les mètre sous silence : « Je suis surpris de constater que dès que la "norme" n'est plus respectée : la folie, la débilité, le sectarisme, l'opportunisme commercial, j'en passe et des meilleures, deviennent les arguments favoris des contradicteurs. Quand il ne s'agit pas de l'insulte !!! » (En considérant qu’il parle des propos tenus dans mon texte et qu’il les ai bien lus et compris)
-en faisant de la mauvaise logique : « De toute façon, comment pouvons-nous accorder du crédit à son analyse, puisqu'il n'a pas l'honnêteté de se montrer au grand jour comme je n'ai pas hésité à le faire. Tu es disqualifié cher ami …»


-On s'aide d’artifices, comme la victimisation :
« … dès que la "norme" n'est plus respectée : la folie, la débilité, le sectarisme, l'opportunisme commercial, j'en passe et des meilleures, deviennent les arguments favoris des contradicteurs »
« Merci aussi du respect que tu n'as pas davantage pour les "morts" qui communiquent avec nous et en l'occurrence, il s'agit de mon fils. »
« Je suis désolé d'avoir perturbé vos esprits, telle n'était pas mon intention, ni celle de mon fils. »


etc ...

MA DEVISE : DOUTEZ ENCORE , ET TOUJOURS.
REMETTEZ VOUS TOUJOURS EN CAUSE.
N'AYEZ PAS HONTE DE VOUS PLANTER.
NE JAMAIS CONCLURE DEFINITIVEMENT