Voilà un paradoxe très intéressant. Dans un message qui est une réponse à Florence, vous affirmez que vous préférez votre "tranquilité solitaire" plutôt que de répondre celle à qui vous êtes en train de répondre.
J'en déduis que votre propre "tranquilité solitaire" doit être fortement perturbée pour que vous vous sentiez obligés de répondre - alors que vous avez si peu à dire.
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