En gros, on peut carrément douter que le croyant, dans ce cas, aime qui que ce soit d'autre que lui-même ...
Ceci étant, il y a autant de façon de croire que de croyants, et tous ne sont pas motivés par la crainte de leurs fins dernières.
Comme Dominique, je ne crois pas non plus à l'altruisme total, quoique je pense aussi qu'il y ait des gradations, depuis le pseudo-altruisme à la "moi-je-suis-croyant-donc-j'aime-tout-le-monde-pas-comme-vous-bande-de-sales-athées" à la Jules, jusqu'à "je-suis-prêt-à-sacrifier-ma-vie-sans-contrepartie".